Déontologie pour la famille

Musée des horreurs et de la corruption => Exposition de la guerre sexiste. Industrie de la calomnie genrée. => Discussion démarrée par: Jacques le 10 juillet 2006, 03:14:20

Titre: En Martin Dufresne et Michèle Dayras dans le texte...
Posté par: Jacques le 10 juillet 2006, 03:14:20
On trouve ceci sur le site de Michèle Dayras :
Adresse : http://www.sos-sexisme.org/SOSSexismeFR.htm

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POUR UNE VÉRITABLE PATERNITÉ

( par Martin Dufresne )

 

La Fête des pères ne sert pas qu'à vendre de l'after-shave et des cravates... C'est aussi l'occasion de voir ressurgir dans nos médias quelques organisations d'hommes séparés ou divorcés. Comme souvent avec les hommes, leur discours joue de la carotte et du bâton, nous faisant rêver de pères impliqués et de partage équitable des tâches parentales – une promesse qui demeure non tenue – alors même qu'ils réclament plus d'irresponsabilité, de privilèges et de contrôle pour n'importe quel homme face aux femmes et aux enfants de l'après-couple.

Si les "témoignages" compassés et invérifiables de ces pères battants sur l'injustice de l'appareil judiciaire à l'égard des hommes nous laissent à spéculer sur ce que savent leurs ex-conjointes, nous nous devons surtout d'être vigilants face aux "solutions" musclées que réclame à hauts cris le Lobby du Droit du Père. Sait-on, par exemple, qu'un groupe comme le G.E.P.S.E. propose à l'État l'arrestation systématique des femmes violentées par leur mari, au même titre que leurs agresseurs, sous prétexte d'égalité des sexes et du risque de fausses allégations? On voudrait rétablir la chape du silence sur cette violence qu'on ne s'y prendrait pas autrement.

Autre exemple, moins marginal : ces groupes de pression ont convaincu l'appareil judiciaire et politique d'imposer systématiquement aux couples qui divorcent de passer par des séances de médiation qui ont, au Québec et ailleurs, le défaut de "tout mettre sur la table", en permettant d'extorquer des privilèges souvent non mérités de garde, d'accès et de contrôle en échange du consentement masculin (pour combien de temps?) au versement de la pension alimentaire.

Quand on sait que la majorité des hommes acceptent très mal le divorce ou la séparation et rechignent en majorité à subvenir aux besoins essentiels de leurs enfants, est-il logique de leur accorder main haute sur des droits aussi primordiaux pour les survivantes du divorce, de soumettre à une partie de bras-de-fer déjudiciarisée et privatisée des litiges aussi délicats, aux répercussions aussi pénibles? N'est-il pas prévisible que la partie la moins intraitable sortira perdante de telles "ententes"?

Sous la rhétorique de ce qu'on appelle à tort des "solutions gagnant-gagnant", on constate déjà que la médiation favorise – en les ignorant – des situations de chantage ignoble ("Oublie la pension ou je réclame la garde..."), de violences psychologique et même physique, et le sacrifice de l'intérêt de l'enfant aux desiderata du père et à un droit de veto accordé aveuglément à n'importe quel homme.

Au-delà des théories fumeuses sur le caractère essentiel d'une paternité toute symbolique, faute de quoi on nous menace des pires effondrements, il est temps de faire place à une vision réaliste des aptitudes et choix parentaux de la plupart des hommes divorcés/séparés. Tout n'est pas aussi rose de ce côté que ne le prétend l'idéologie dominante. Beaucoup des "nouveaux" pères dont nous bassinent des sociologues révisionnistes et une publicité insidieuse sont également ceux qui ne "voient" leur enfant que lorsque ça les arrange, ou même simplement pour réduire ou éteindre leurs obligations financières à son égard. C'est en effet ce que permet depuis trois ans une clause peu honorable adoptée par le gouvernement Chrétien sous la pression du parti conservateur, qui menaçait de défaire au Sénat le projet de loi instaurant des barèmes de pension alimentaire pour enfants.

Combien de femmes et d'enfants se voient aujourd'hui contrôlés, manipulés et frustrés au quotidien par l'exercice aléatoire et anxiogène d'un "droit d'accès" qui est devenu une prérogative masculine plutôt que ce qu'il était dans la Loi du divorce, un droit de l'enfant conditionnel à une évaluation attentive des risques qui y sont associés? Car il y a risque.

Le cliché amplement médiatisé du Père charmant ne devrait pas nous faire oublier que la violence masculine du conjoint et du père demeure le principal motif des séparations et des divorces (54 % des demandeuses de divorce citaient la violence physique ou psychologique dans une étude de Gill et St-Pierre sur le Québec du Sud-Ouest). Malgré la promotion et le soutien de l'État à de soi-disant "thérapies pour hommes violents", à l'inefficacité maintes fois démontrée, ces problèmes d'agression et d'abus paternels sont loin de prendre fin avec la séparation ou le divorce. On assiste même depuis quelques années à une hausse inquiétante du nombre d'enfants tués par un père séparé/divorcé, dans un geste ultime de violence contre leur mère.

Pourtant, cette létalité – attisée par le discours sur la "souffrance masculine" – n'amène pas encore l'État et les tribunaux, qui continuent à préconiser et accorder des privilèges d'accès et de contrôle à n'importe quel homme qui en réclame. Pire, le lobby des pères réclame (et obtient, récemment en Alberta) de nouvelles lois ultra-punitives à l'égard des mères qui tentent de protéger des enfants abusés contre cet exercice incontrôlé du "Droit du Père". Il s'agit d'autant d'armes ajoutées à l'arsenal des ex-conjoints harceleurs, décidés à punir celle qui a osé rompre, celles à qui ils ne veulent plus verser un sou. Car c'est d'argent et de contrôle qu'il s'agit avant tout dans cette guerre secrète.

Est-ce dire que les pères divorcés séparés sont à jeter aux oubliettes? Pas du tout. Nous en connaissons tous qui conservent un rapport intègre et respectueux avec leur ex-famille. C'est même sur la base de leur comportement qu'on devrait ranger pour de bon les rengaines masculinistes d'il y a cent ans, en mesurant les droits des adultes à leurs compétences parentales et à leur non-violence à l'égard des enfants. Et de telles compétences ne s'apprennent pas au CLSC en un tournemain, le temps de refaire une vertu à Monsieur.

L'erreur, ce serait de laisser ces bons parents servir de caution au lobby masculiniste qui réclame des droits pour n'importe quel homme, fût-il un batter de femmes ou un violeur d'enfants. C'est faire bien peu de cas des atitudes morales masculines, mais surtout du droit des enfants à laisser derrière eux certains faux parents sans être dépossédés.

***********

Martin Dufresne est Secrétaire du " Collectif masculin contre le sexisme ".

COLLECTIF MASCULIN CONTRE LE SEXISME, 598, rue St-Olivier, bureau 4, QUÉBEC (Québec) G1R 1H1 No de tél.: (418) 524-3254. Courriel: martin@laurentides.net

 


On y trouve aussi ceci :

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Réponse à "Quand les Françaises doivent fuir le pays pour sauver leurs enfants !"

Ecrit par Michèle le 9/22/2002 à 7:09:44 AM

Voici un texte que nous a envoyé Martin Dufresne du " Comité masculin contre le sexisme "





***






Les medias ont beaucoup parle ces derniers mois des meres françaises qui viennent se refugier en Suisse pour echapper au droit de visite accorde a leur ex-conjoint.


" Nouvelles Questions Féministes " publie dans son dernier numero trois articles de fond qui permettent de comprendre l'emergence de ce genre de situations.


L'un d'eux, ecrit par Ailbhe Smyth, analyse les politiques qui euphemisent la violence masculine contre les femmes. La tendance aujourd'hui est de psychologiser la violence et d'en faire une affaire de couple ou de famille, « privee ». Dans cette optique, on postule que la violence peut etre exercee aussi bien par les hommes que par les femmes, on va chercher des hommes battus pour le prouver, et on nie ainsi les rapports de pouvoir qui regissent les relations entre femmes et hommes.


Depuis des annees, des mouvements d'hommes divorces s'organisent pour echapper aux accusations de violence qui leur sont adressees. Ils pretendent que les femmes leur volent les enfants et que leur amour paternel est ignore : la societe, en particulier les juges, se liguerait contre eux, au detriment des vrais interets des enfants. Analysant ces plaintes dans les pays anglophones, Lynne Harne montre comment les lobbies des peres ont construit une mythologie habile, qui s'appuie sur la revendication d'egalite. « Nous avons change » disent-ils, « nous sommes de nouveaux hommes » prets à s'investir auprès des enfants. Donc : on n'a plus de raison de preferer les meres.


En France aussi la presence du pere est devenue LE critere de l'interet de l'enfant, au detriment meme de sa securite. (...) Des lors qu'il est separe de sa compagne, l'homme beneficie d'une presomption de competence et de bonne volonte ; meme si auparavant il n'a jamais change son enfant ; même si la mere l'accuse d'inceste ou de violence. En outre, comme l'enfant est cense naviguer entre la residence de la mere et celle du pere, la pension alimentaire est supprimee. Il en resulte une pauperisation des femmes lorsque le pere ne tient pas ses engagements quant a la prise en charge concrete des enfants.
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L'utilisation de ce Forum implique que vous respectiez le réglement interne.
Titre: La directrice du site sexiste par excellence, dans le texte :
Posté par: Jacques le 10 juillet 2006, 03:49:05
Quant à la directrice de ce site sexiste par excellence, celui qui exhibe complaisamment son Martin Dufresne, Michèle Dayras, la voici dans le texte :

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Réponse à "Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: mise au point Rémy"

Ecrit par Michèle le 22/08/2001 à 02:02:56

En réponse à : Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: mise au point Rémy Ecrit par Rémy le 21/08/2001 à 16:11:17 Je trouve assez étonnante votre réponse car, comme la majorité des hommes, vous ne souffrez pas la contestation et vous préférez fuir plutôt que d'affronter la réalité c'est-à-dire la vérité sur le comportement masculin et sur l'oppression que les hommes font vivre aux femmes.
Pour moi, tout homme est un " salaud " en puissance, comme on pourrait dire que tout homme est un violeur ou un intégirste en puissance. Je pense, aorès tant d'années passées à militer, qu'il ne s'agit que d'une question de degré dans l'abjection, ce qui fait que certains hommes peuvent passer pour sympa : ceux qui n'ont pas été confrontés à la réalité et que leur petite femme chérie...conforte dans leur machisme; ceux-là ne sont pas trop véhéments car ils n'ont pas l'impresion qu'ils vont perdre le pouvoir avec tous les privilèges qui s'y rapportent.
Lisez l'article de Françoise Héritier dans LIbération : - " Les hommes peinent à accepter que les femmmes soient leurs égales " - dans lequel elle explique que "l'incapacité des hommes à reproduire leur semblable (un homme) est à la base des dépossessions dont elles (les femmes) ont été victimes ".
Et revenez dans ce Forum !
Réponses:

Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: mise au point Rémy - frances 22/08/2001  09:44:37
Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: mise au point Rémy - Nova 22/08/2001  05:49:08
Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: mise au point Rémy - frances 22/08/2001  09:52:26
Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: mise au point Rémy - nova 22/08/2001  04:42:45
Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: mise au point Rémy - Mi chèle 23/08/2001  01:24:55
Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: mise au point Rémy - frances 23/08/2001  11:18:19
Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: mise au point Rémy - nova 22/08/2001  05:48:09
Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: mise au point Rémy - frances 22/08/2001  10:07:17
Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: mise au point Rémy - Michèle 24/08/2001  00:26:06

Vous avez retenu ? Pour elle "Pour moi, tout homme est un " salaud " en puissance, comme on pourrait dire que tout homme est un violeur ou un intégirste en puissance."
En une phrase, tout est dit, tel est en permanence le contenu de son site.

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Réponse à "Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: mise au point Rémy"

Ecrit par Mi chèle le 23/08/2001 à 01:24:55

En réponse à : Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: mise au point Rémy Ecrit par nova le 22/08/2001 à 04:42:45 Le mot " salaud " est sans doute un peu fort mais je veux dire par là que, poussé dans ses retranchements (et il n'est pas besoin d'aller bien loin !) le vernis de politesse tombe très vite et la vraie nature des rapports hommes-femmes apparaît avec la violence, la peur et la haine que les hommes ont des femmes.

C'est mon analyse et je sais qu'elle semble extrêmiste, radicale et misandre et qu'elle heurte beaucoup de personnes, mais elle ne reflète que la triste réalité des rapports entre les sexes.

Je crois que si les femmes ne veulent pas véritablement savoir contre qui elles luttent pour leurs droits et qui les oppriment, jamais elles n'arriveront à obtenir l'égalité dans un monde plus juste.
J'ai, au cours de mon existence de militante, rencontré seulement 2 femmes qui, dans des conférences internationales ont été capanbles de dire que notre ennemi, celui qui nous opprime : c'est l'homme ! Aucune femmme n'ose accuser nommément les hommes car chacune a un père, un frère, un fils et un mari qu'elle chérit ! C'est ça le vrai handicap des femmes dans le combat pour leurs droits.
Réponses:

Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: Re: mise au point Rémy - frances 23/08/2001  11:18:19

Par ailleurs c'est "ça" qui exerce un pouvoir d'expertise judiciaire, comme elle le précise elle-même :
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Réponse à "Re: Re: Re: viol et castration"

Ecrit par michèle le 07/08/2000 à 03:04:55

En réponse à : Re: Re: viol et castration Ecrit par olier le 03/08/2000 à 11:46:07 Grave erreur médicale !
Oui, il y a des hommes qui violent avec une bouteille ou tout autre objet que leur sexe, mais le processus initial qui conduit au viol reste le même et a une origine identique : la haine et la peur que les hommes ont des femmes et leur agressivité liée à leur testostérone.
Jai assez longuement étudié, à l'Institut de criminologie, la violence masculine et je me penche sur ce problème depuis de longues années en tant que médecin et en tant que militante féministe.
Oui la castration n'est pas un remède miracle car " on peut violer avec autre chose " ; ce raisonnement omet pourtant de prendre en considération le grand attachement psychologiue et affectif que les hommes entretiennent avec leur zizi et leur peur infinie de leur propre castration dès le plus jeune âge !
Réponses:

re: - Salomé 07/08/2000  10:59:18
Re: re: - david 07/08/2000  12:38:02
La vengeance - Salomé 10/08/2000  08:25:24
autre chose... - Salomé 10/08/2000  08:46:12


Autre étalement de leur paranoïa, à ces militantes de la guerre sexiste :

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Réponse à "Re: Re: le désespoir des pères ???"

Ecrit par sos sexisme le 12/16/2002 à 10:06:00 AM

En réponse à : Re: le désespoir des pères ??? Ecrit par fame le 12/14/2002 à 10:43:00 PM
Cette association est la première qui a été créée pour le " backlash " des femmes et de leurs drots à travers le monde.


"Je connais celui qui l'a créée; je l'ai reçu chez moi, dit Michèle. C'est un vrai macho qui voulait savoir à quoi je ressemblais en tant que féministe !"


Il s'agit maintenant d'un réseau qui combat pour les droits des hommes et contre les droits des femmes sur TOUTE LA PLANETE (prenez leur site et voyez leur diffusion). Le discours enrobé de féminisme est un piège immense dans lequel tombent des femmes telles que "Fame " qui nous semblaient faire partie des vraies militantes...

A cause de la Condition paternelle et de SOS PAPA, qui faisaient le forcing auprès des membres gouvernementaux de la Conférence sur la Famille (qui se réunit chaque année en Juin) le GOUV. de Jospin a voté "la garde altenée " (les Françaises vont se cacher en Suisse, avec leurs enfants, pour y échapper) le divorce " par répudiation " et la loi sur le " matronyme " qui n'est que la préservation déguisée de la transmission du patronyme.

Ces hommes sont éminemment DANGEREUX !
Réponses:

Re: Re: Re: le désespoir des pères ??? - fame 12/18/2002  11:59:05 AM



Une autre fois je vous citerai les insultes envoyées à Géraldine par Callixto, sur le site à Michèle : "C'est parce que vous êtes enceinte que vous êtes aussi confuse. ..." et "Vous êtes illoqique comme toutes les femmes mariées..."
Titre: En "SOS-Sexisme" dans le texte
Posté par: Jacques le 12 juillet 2006, 04:34:59
En "SOS-Sexisme" à Michèle Dayras, en Anne (Onyme)  dans le texte :

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http://www.sos-sexisme.org/forum/ViewPost.asp?Post=5566 :

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Réponse à "Re: le SAP"

Ecrit par anne le 1/29/2003 à 11:58:12 PM

En réponse à : le SAP Ecrit par gentil33 le 1/29/2003 à 4:00:15 PM
Allons, allons, votre théorie masculiniste psychologisante est assez
pitoyable!
Vous voulez nous en mettre plein la vue avec votre nouveau concept à 2
balles de SAP. Pourquoi ne pas inventer un nouveau concept pendant qu'on
y est : celui de SMR (syndrome du masculiniste revanchard :-)
Vous voulez expliquer la violence des nouvceaux petits caïds de
banlieues par ce nouveau concept, alors que les facteurs principaux sont
d'ordres sociaux et culturels : acculturation, trop grand tolérance de
la part de la famille donnée aux garçons, éducation machiste et misogyne
(en grande partie perpétrée par la culture "musulmane", tolérance vis à
vis des mâles, inaptitude des garçons à suivre une scolarité studieuse,
etc...etc...). Le problème du néo-machisme des banlieues est plutôt à
rechercher dans ces causes culturelles et sociaologiques-là, plutôt que
dans votre "syndrome" à la noix!
Réponses:

Re: Re: le SAP - gentil33 1/30/2003 12:45:56 PM
Re: Re: Re: le SAP - pascal 1/30/2003 3:20:50 PM
Re: Re: Re: Re: le SAP - Chochotte 1/30/2003 9:34:36 PM
Re: Re: Re: Re: Re: le SAP - gentil33 1/31/2003 10:02:19 AM


Le bordelais qui signe "Gentil" a montré une longue patience, dans ses tentatives d'établir un dialogue avec ces furies.
Résultat nul, comme toujours avec les paranoïaques, surtout s'ils/elles sont réunies en secte fermée comme celle-là..
Titre: Re : En Martin Dufresne dans le texte...
Posté par: Jacques le 15 janvier 2007, 05:41:07
Apparemment tout ce site là serait du pur Martin Dufresne :
http://www.antipatriarcat.org/antimascu/index.html

Nous vérifions.
Titre: En Martin Dufresne dans le texte :
Posté par: Jacques le 30 mai 2007, 04:18:31
http://www.antipatriarcat.org/nouvelles/titres.php?ref=10185
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Le 12 août 2005 -  "Big Father is Watching You"...
Martin Dufresne - collectif masculin contre le sexisme
Le délire néo-patriarcal n'a plus de bornes.

L'État de l'Utah reconnaît de puis l'an dernier aux pères un "droit" à faire installer un système de vidéoconférence (Webcam + ordinateur) chez leur ex pour offrir à ces hommes un accès virtuel à "leur" enfant.

Ce sont les conjoints agresseurs qui vont être ravis de tenir ainsi leurs victimes à leur merci.

De plus, les législateurs de l'État mormon ont pris le soin de préciser que cela ne devait pas fournir à Madame un prétexte pour échapper aux privilèges de Monsieur en matière de visites réelles, des visites accordées sans égard à sa violence selon une recherche qui vient de paraître à Seattle (voir plus bas).

Si Monsieur veut de ces visites, bien sûr, car il n'est jamais question d'imposer quoi que ce soit aux pères négligents ou manipulateurs qui refusent aux enfants l'accès à ses deux parents, facteur pourtant présenté par le lobby des pères comme essentiel à leur équilibre.

(...)

la suite
ligne

"Big Father is Watching You", par Martin Dufresne:
http://www.antipatriarcat.org/cmcs/titre.php?id=1036
Le site web du collectif masculin contre le sexisme (entièrement rénové et fréquemment mis à jour):
http://www.antipatriarcat.org/cmcs
Titre: En Martin Dufresne dans le texte...
Posté par: Jacques le 30 mai 2007, 04:21:13
http://www.antipatriarcat.org/nouvelles/titres.php?ref=10174
Citer
Le 20 juin 2005 - "Appel du sexe" ou pression du fric?
Martin Dufresne, James Douglas, Benoît Lacoursière
[Lettre ouverte au DEVOIR]

Nous attendions mieux du Devoir et de Normand Cazelais que l'apologie traditionnelle de l'exploitation sexuelle présentée dans votre chronique Voyages ("L'appel du sexe", 18-19 juin).

Ce n'est ni par "pudibonderie" ou par "vertu" que nous sommes plusieurs à contester les privilèges des exploiteurs et des touristes à qui une bourse bien garnie devrait donner, suggère Cazelais, libre accès aux femmes et aux jeunes de leurs "destinations plaisir", y compris nos collectivités.

L'époque où l'accès au minimum vital passait nécessairement par ce genre de dépossession était bien plus sordide que "sulfureuse" pour les femmes, les jeunes et les minorités ethniques qui l'ont vécue. Quant à la Rome antique, on n'y trouvait pas que des bordels accueillants, mais aussi l'esclavage pour les approvisionner.

Des membres du Bloc québécois siégeant au Sous-comité fédéral d'examen des lois sur le racolage semblent annoncer un retour en arrière qui, sous prétexte de "protection" des exploitées, offrirait de nouveau à leurs prostitueurs (pimps et acheteurs) des zones franches de toute sanction dans les quartiers appauvris de nos villes. C'est de bien mauvais augure pour l'équité sexuelle dans le projet de pays du Bloc.

Acheter ou vendre le sexe des autres n'est pas un droit de l'homme auquel nous tenons.

Martin Dufresne et James Douglas, Collectif masculin contre le sexisme
Benoît Lacoursière, Hommes contre le patriarcat


(Extrait de l'article)

"Voyages - L'appel du sexe
Normand Cazelais
Édition du samedi 18 et du dimanche 19 juin 2005

Montréal vient de vivre un autre grand épisode de son histoire touristique. Son Grand Prix automobile a encore connu un "éclatant" succès. Dans les
jours et semaines à venir, une avalanche de chiffres en étalera les retombées sur la métropole et sur tout le Québec: nombre de visiteurs,
dépenses globales, taux d'occupation hôtelière, rayonnement planétaire, tout y sera. Sauf les gains enfournés par l'industrie du sexe.

(...)

L'appel du sexe fait intrinsèquement partie des attraits d'une destination. Il n'y a pas que les musées, les spectacles, les activités sportives, les paysages et les restaurants.

Pourquoi cacher cette réalité sous le tapis ? Ou sous le lit ?"

La suite de l'article (pour les abonné-e-s du Devoir):
ligne

"L'appel du sexe", Normand Cazelais, Le Devoir, 18-19 juin2005:
http://www.ledevoir.com/2005/06/20/84568.html
collectif masculin contre le sexisme:
http://www.antipatriarcat.org/cmcs
hommes contre le patriarcat:
http://www.antipatriarcat.org/hcp
Titre: Longue controverse sur la pathologie de Dufresne
Posté par: Jacques le 30 mai 2007, 04:32:26
Longue controverse sur la pathologie de Dufresne sur le site cmaq (Centre des Média alternatifs du Québec) :
http://www.cmaq.net/fr/node.php?id=18967 (http://www.cmaq.net/fr/node.php?id=18967)

J'en ai pris une copie et la mettrai en ligne, si cette adresse devenait indisponible.

Bien que je n'en trouve toujours pas la source exacte, il se confirme qu'il est là bas de notoriété publique qu'il est un abusé sexuel, et qu'il persiste à ne pas voir clair entre les limites de sa propre biographie et toutes celles des autres, qu'il persiste à projeter sur autrui.

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C'est reconnu par énormément de gens, que Dufresne est un militant anti-père et anti-homme, même dans les milieux dits progressistes. Tout le monde sait que son agression sexuelle étant plus jeune par un homme est la source de sa haine envers le genre masculin.
Titre: En Martin Dufresne dans le texte...
Posté par: Jacques le 30 mai 2007, 05:23:56
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20 février, 0 h 07 - Parler d'"agressivité", c'est *naturaliser* a priori un comportement qui est en fait *instrumental*, en ce sens que les hommes qui violentent une femme en tirent un bénéfice : la soumission forcée de l'être agressé, le privilège de ne pas répondre de leurs comportements. Les batteurs de femmes s'en cachent rarement d'ailleurs, prompts à dire qu'elle "l'a mérité". Ce sont les psys qui tentent de noyer le poisson.
 
Si ce n'était qu'affaire d'agressivité, on verrait ces hommes s'en prendre à leur patron, aux flics, etc.
Non, ils calculent, frappent quand ils savent pouvoir s'en tirer sans témoin. Et ils nient, eux, alors que les femmes sont souvent promptes à se reconnaître bien des torts.
D'ailleurs, personne ne parle d'"innocence féminine" sauf ceux qui les chargent de tous les péchés de la terre...
 
Si des femmes *peuvent* être violentes, il est clair qu'elles font beaucoup moins souvent que les hommes le choix de l'être. Et qu'elle sont beaucoup plus durement punies quand elles le font, tant par les médias que par les tribunaux.
 
En ce sens, oui, la violence a un sexe, celui du pouvoir qu'elle sert à protèger de l'égalité, de la négociation au quotidien.
 
Quant aux pères, il faut être de mauvaise foi pour ne pas voir à quel point beaucoup servent de modèle à la violence de leurs fils. Alors, pourquoi leur réserver une place incontournable, plutôt que de les juger à leurs mérites et reconnaître que les mères sont souvent de meilleurs modèles, même pour des garçons?
 
Patriarcat, quand tu nous tiens...
Martin Dufresne
Québec
http://www.radio-canada.ca/radio/profondeur/hommes/emission5.shtml

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Date: 5 Dec 1998 19:21:42 -0400
From: Martin Dufresne
Subject: Site Web consacré_à_ une vigile pré-6_décembre

Un jeune pro-féministe récemment arrivé à Montréal organise en ce moment
avec quelques amis une vigile sur la rue Saint-Laurent. Un autre type -
Martin Chartrand - y consacre un site Web sonore au
www.geocities.com/Eureka/Enterprises/3132/501.html. Hyperliens intéressants
au travail de féministes canadiennes. Ë découvrir.
Si des types sont intéressés à explorer la possibilité d'une démarche
pro-féministe à Québec, prière de me contacter au 524-3254.

Martin Dufresne
Collectif masculin contre le sexisme

"Feminism exists so that no woman ever has to face her abuser in isolation,
alone."
(Andrea Dworkin)

http://old.nothingness.org/kebekaktif/reseau/digests/Dec-98/Dec5-98-259.html

En clair, être contre les mâles et pour les femelles, c'est être anti-sexiste selon Martin Dufresne...
Titre: Martin Dufresne ...
Posté par: Jacques le 30 mai 2007, 05:57:49
(http://nicoseve.no-ip.org/web-calendrier/dossier_html/sujets/Arte_Palma_Dufresne_Feministe/martin-dufresne-26_1_CMCS.jpg)

Contenu :
Ontario Women Justice Network (http://nicoseve.no-ip.org/web-calendrier/dossier_html/sujets/Arte_Palma_Dufresne_Feministe/Children%20Exposed%20to%20Woman%20Abuse%20%20Ontario%20Women%20s%20Justice%20Network.htm)
Adresse originale : http://www.owjn.org/custody/dufresne.htm
Titre: Preuve de la notoriété publique au Canada :
Posté par: Jacques le 01 juin 2007, 05:00:42
Pas vraiment une preuve, pas vraiment tranchant, mais un indice fort sérieux, et en tout cas une preuve de la notoriété publique au Canada, et de l'absence totale de démenti par Martin Dufresne, voire même un aveu implicite :

http://www.cmaq.net/fr/node.php?id=18097
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Sujet:     Monologue classique    
Auteur:    martin dufresne
Date:    Dim, 2004-09-12 11:43

Classique, la passe de se présenter comme victimisé pour invalider d'avance toute critique d'un texte qui ne ménage aucun effet de manchettes pour parodier grossièrement et tenter de discréditer des analyses féministes auquel il prétend "répondre", mais dans un milieu antiféministe plutôt que dans un réel dialogue avec d'autres personnes souffrant de l'assignation de genre ou la lui imposant (comme son "ami"). Dommage. On comprend pourquoi des misogynes applaudissent ci-dessous.

En fait, je trouve que "Serpillère" se montre extraordinairement contrôlant en définissant d'avance ce qu'on est en droit de penser de son texte et de lui répondre. Quoi qu'il en dise, c'est bel et bien en tant qu'homme ("garçon") qu'il "drague" le lecteur vers la défense de ses privilèges, que je persiste à reconnaître comme masculins, bien que revus et améliorés, et qu'il tente de museler toute réticence à avaler la 'bouillie pour les chats' qu'il nous sert en abondance.

Personnellement, je trouve plus crédibles (et honnêtes) les analyses qui vont au-delà de pareilles prétentions à mettre une posture personnelle (de "garçon" non genré ou uniquement genré par l'analyse féministe "radicale") à l'abri de toute assimilation à d'autres conduites de pouvoir masculin tout aussi culpabilisantes et violentes que la sienne.

Libre à lui de (continuer à) accoller aux gens que ses accusations ne convainquent pas les étiquettes dévalorisantes qui serviront sa stratégie; une autre passe simpliste. Tout ce que je retiens de ce monologue compassé, c'est une longue tentative pour *interdire* d'avance toute critique et tout dialogue avec d'autres personnes souffrant comme lui de l'assignation de genre, mais qui auraient le toupet de soupçonner en lui un homme protégeant des privilèges masculins - virils ou libertaires - et s'en servant lorsqu'il appelle à la guerre sainte antiféministe.

Contrairement à ce qu'affirme tout ce texte, il faut rappeler que ce sont d'abord et encore les féministes qui sont quasi-seules à nous rappeler qu'il n'y a PAS que deux sortes de gens, que le genre n'est PAS biologique, même si l'adhésion aux privilèges de genre ou la tentative d'y accéder demeure, même s'il le nie, le fait de la quasi-totalité des hommes (le texte de "Serpillère" en est d'ailleurs une splendide illustration).

Car il ne suffit pas de dire que le genre est arbitraire, assigné et qu'il faut le dépasser. Il est trop facile de prétendre que notre cas personnel, notre image de soi, nos voltiges théoriques invalident aussitôt énoncés une analyse réaliste du pouvoir de genre, tel qu'il s'exerce même en milieu dit progressiste (mais souvent rageusement misogyne).

Il est tellement plus facile de tirer sur le pianiste - ce dont "Serpillère" ne se prive pas - que de (réellement) écrire et vivre une nouvelle partition.

Imaginez un texte de la même eau écrit par un Blanc qui, à cause de ses conceptions ou perceptions de soi personnelles, ne se "reconnaîtrait" pas dans une critique du racisme de sa société et 'vargerait' de tout son privilège de race sur les Noirs qui oseraient voir en lui un Blanc, encore un Blanc, menant une politique de Blanc en interdisant toute généralisation critique...

Je crois qu'il faut avoir l'humilité de voir dans une telle non-reconnaissance de sa position (encore) privilégiée - même si on est opprimé comme bisexuel - un élément du problème plutôt qu'un bon contre-argument valable. Je crois qu'il faut chercher des solidarités avec les principales opprimées de genre plutôt que contre elles. Pas facile, mais nécessaire si l'on ne veut pas ajouter à l'oppression machiste qu'on subit parfois avec elles.

Martin Dufresne
(qui ose signer contrairement à l'auteur)
   
      

      
   
Sujet:    Dufresne classique.    
Auteur:    Casanova
Date:    Dim, 2004-09-12 14:32
   
Ca ben l'air que notre Martin nationale s'est sentit attaqué dans ce texte. Normal, quand l'auteur parle de la misandrie et de l'incohérence du discour des féministes radicales, ils visent des gens comme Martin Dufresne qui en est un exemple parfait.

Dufresne va même jusqu'à dire, le plus sérieusement du monde, que l'auteur appelle à la guerre sainte contre le féminisme. Le gars est dérangé pis pas à peu près... IL doit être le seul à avoir eu cette impression en lisant le texte ou c'est juste qu'il est à court d'arguments pour discriditer l'auteur. Dufresne utilise toujours la même tactique: il tente de discriditer ceux qui ne pensent pas comme lui avec des mensonges ou en leur prêtant de fausse intention. Pourtant, l'auteur a clairement indiqué qu'il critique le féminisme radicale et non le féminisme en son ensemble. Dufresne nous dit que ce texte et ceux qui sont d'accord avec sont mysogine...Donc tout ceux qui ne sont pas d'accord avec la misandrie des féministes radicales sont mysogine? Alors 99.9% de la population mondiale est mysogine! Pauvre Martin, il est bien seul dans son monde.

Ce qui est le plus pathétique dans le cas de Dufresne, c'est qu'il a avoué publiquement le cause de son mépris envers les hommes. En effet, il a publiquement avoué avoir été abusé sexuellement par un homme étanr enfant. Au lieu de diriger sa rage envers son agresseur, il l'a dirigé envers l'ensemble des hommes. Son jugement est complètement dérèglé depuis ce temps. Il est trop lache pour viser le vrai responsable de sa misandrie.




      
   
Sujet:    Bassesse    
Auteur:    martin dufresne
Date:    Dim, 2004-09-12 17:34

L'anonymat permet vraiment toutes les bassesses, comme la lâcheté du CMAQ à afficher régulièrement de telles attaques personnelles.
Son commentaire est tout de même assez révélateur. Que nous dit "Casanova" (Rémi Tremblay), sinon
que tout-e survivant-e d'agression sexuelle dans l'enfance doit être discrédité-e a priori?
Il ne saurait signer plus clairement son adhésion à une vision du monde et une politique de soutien aux violeurs, bref, masculiniste.

Martin
   
      

      
   
Sujet:    Rectification.    
Auteur:    Casanova
Date:    Dim, 2004-09-12 20:18
   
Je tiens à rectifier deux choses. Premièrement, je ne suis pas Rémi Tremblay. Que tu m'associes à ce grand idéologue et tombeur de ces dames m'honnore au plus au point. Je te dirais bien mon identité mais je te laisse t'amuser à tenter de découvrir qui je suis. Il est reconnu que l'amusement est une forme de thérapie, tu en as grandement besoin.

Deuxièmement, je n'ai jamais dit que tout-e survivant-e d'agression sexuelle dans l'enfance doit être discrédité-e a priori. Ce que je dis, c'est que dans ton cas il est évident que ton agression sexuelle par un homme dans ton enfance a grandement contribué à ta haine sans limite pour le sexe masculin. Tu déplaces ta colère sur les hommes au lieu de l'envoyer sur ton agresseur. Voilà pourquoi tu es si misandre et malhonnête au sujet des problèmes de la condition masculine. Quelqun qui s'est fait agressé sexuellement en enfance peut être tout aussi bien un masculiniste si il a déplacé sa colère sur son agresseur et non les hommes.
   
      

      
   
Sujet:    Sur le vécu vs l'Opinion    
Auteur:    Dominic Claveau
Date:    Lun, 2004-09-13 16:26
   
Maudit (*&%(&$(&$(%&(*? on recommence... pourquoi ca c'est effacé?!?;-)

Monsieur Dufresne.

Je sympathise avec vous car je comprend que le dévoilement de cette épisode de votre enfance vous mette mal à l'aise. Je présume qu'il est véridique, car vous n'avez pas démenti... De votre point de vue, je comprend aussi que vous pouvez interpréter toute référence à votre enfance comme une façon de vous discriditer à priori. Vous avez évidement raison, certain ni manquerons pas. D'un autre côté, contrairement à Bleuer, je trouve tout à fait légitime qu'on soit informer sur ce fait, quoiqu'il aurait fallu que ca vienne de vous. Je suis moi même tenté d'attribuer une parti de votre position idéoligique sur le compte de votre enfance... même si ça n'explique pas tout. Personne n'aime qu'on associe nos opinions à des raisons psychologiques plutôt que rationnelles... Pourtant, MOI, Casanova, Gilles, Sysyphe... et même Bleuer! ;-) sont dans le même bateau: notre profil psychologique, éducation environnement, etc. inflence bien plus notre Opinion qu'une qualquonque démarche "rationo-cartésienne". D'ailleur, tous les grand hommes et femmes ont subi durant leur Histoire - avant ou après leur mort - le "sévice" de l'analyse psychologique, voir psychanalitique pour expliquer leur opinions et comportements... Alors medammes et messieurs, qui peut lancer la pierre à M Dufresne et dire que sont opinion à lui est libre de toutes expériences vécu dans l'enfance!? ;-)
   
      

      
   
Sujet:    Dufresne a un peu raison    
Auteur:    RiouxYves/Bleuler
Date:    Dim, 2004-09-12 21:36

Je n'aime pas beaucoup Dufresne, mais ici, il a un peu raison. Le fait qu'il ait été abusé pendant sa jeunesse ne peut pas être invoqué comme argument pour discréditer ce qu'il dit. Il s'agit d'une attaque personnelle aussi inutile que mesquine.
   
      

      
   
Sujet:    Explication.    
Auteur:    Casanova
Date:    Dim, 2004-09-12 22:40

Je n'invoque pas le fait qu'il est été abusé par un homme étant enfant pour discréditer tout ce qu'il dit mais pour expliquer son discour ultra-haineux envers les hommes. Je suis LOIN d'être le premier à invoquer cette raison pour expliquer le comportement anti-homme pathologique de Dufresne. D'ailleurs, même certainES féministes modérés me l'on déja dit sous le couvert de l'anonymat, c'est à ce moment que j'ai apprit que Dufresne avait été abusé par un homme. Je cherchais depuis un bon moment comment un homme pouvait avoir une haine aussi profonde envers son propre sexe, j'ai comprit après avoir apprit la nouvelle. Il ne faut pas être un grand psychiatre pour comprendre que son abus par un homme à été un déterminant important dans le développement psychologique de Dufresne. Je tenais à vous préciser mes dires monsieur Bleuler car j'ai un grand respect pour vous.

Titre: Re : En Martin Dufresne dans le texte...
Posté par: Jacques le 02 juin 2007, 01:01:46
A l'adresse http://sisyphe.org/article.php3?id_article=2437 on trouve ceci :
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jeudi 26 octobre 2006

La National Organization for Women dénonce le SAP

ATTENDU QUE la notion de “syndrome d’aliénation parentale” (SAP) a été créée par le psychiatre Richard Gardner et que les avocats plaideurs s’en servent en Cour comme stratégie tactique de défense des batteurs de femme et des prédateurs sexuels qui prétend expliquer la désaffection d’un enfant pour un parent, ou invalider des allégations contre ce parent de violence ou de viol infligé à l’enfant, en blâmant le parent protecteur ;

ATTENDU QU’IL n’existe pas de preuves à l’appui de l’existence du SAP ;

ATTENDU QUE ce sont surtout les mères à qui on prête un comportement pathologique et que l’on blâme de nuire à l’attachement de leurs enfants aux pères, et que le SAP est utilisé par plusieurs évaluateurs et tribunaux comme une forme de piège pour discréditer les peurs ressenties par les enfants dans des situations d’hostilité et de violence psychologique, pour tenir l’enfant à distance du parent protecteur ;

ATTENDU QUE la violence se poursuit par le biais du système judiciaire par une série d’attaques sans pitié menées de toutes part et stratégiquement échelonnées dans le temps par l’agresseur, ses avocats en matière criminelle, familiale et de préjudices personnels et des thérapeutes adeptes du SAP en vue de pleinement discréditer, blâmer et contrôler un parent protecteur dans le seul but de camoufler des violences, des infidélités et des avoirs ainsi que de « gagner » la possession du ou des enfants, ce dont les adeptes du SAP tirent bénéfice ;

ATTENDU QUE, comme l’illustre le documentaire du Public Broadcasting System Breaking The Silence, The Children’s Stories, la violence et le dysfonctionnement atteignent des niveaux épidémiques dans notre appareil judiciaire, où des juges convaincus d’avance répètent la doctrine sans fondement de Richard Gardner et formulent des recommandations ayant force obligatoire de concert avec des thérapeutes et des avocats acquis à la thèse du SAP ;

ATTENDU QUE la nouvelle édition 2006 révisée du guide « Navigating Custody and Visitation Evaluations in Cases with Domestic Violence : A Judge’s Guide », publié par le National Council of Juvenile and Family Court Judges, inclut un énoncé qui condamne vigoureusement le recours a SAP, qualifié de syndrome « discrédité » qui favorise les agresseurs d’enfant dans les litiges de garde ;

IL EST DONC RÉSOLU QUE la National Organization for Women (NOW) dénonce le syndrome d’aliénation parentale et recommande que tout professionnel dont l’énoncé de mission comprend la protection des femmes et des enfants dénonce son utilisation comme contraire à l’éthique, inconstitutionnelle et dangereuse.

(Traduction : Martin Dufresne)

Source : Site de NOW.

In English.

-  Lire également la rubrique sur le SAP et la brève "Aliénation parentale - article sur un subterfuge des pères agresseurs".

Mis en ligne sur Sisyphe, le 24 octobre 2006
© Sisyphe 2002-2007
Titre: Falsification partielle toujours possible...
Posté par: Jacques le 03 juin 2007, 10:45:03
http://www.cmaq.net/fr/node.php?id=18097
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Sujet:     Monologue classique    
Auteur:    martin dufresne
Date:    Dim, 2004-09-12 11:43

Classique, la passe de se présenter comme victimisé pour invalider d'avance toute critique ...
Martin Dufresne
   
   
      
   
   
Sujet:    Bassesse    
Auteur:    martin dufresne
Date:    Dim, 2004-09-12 17:34

L'anonymat permet vraiment toutes les bassesses, comme la lâcheté du CMAQ à afficher régulièrement de telles attaques personnelles.
Son commentaire est tout de même assez révélateur. Que nous dit "Casanova" (Rémi Tremblay), sinon
que tout-e survivant-e d'agression sexuelle dans l'enfance doit être discrédité-e a priori?
Il ne saurait signer plus clairement son adhésion à une vision du monde et une politique de soutien aux violeurs, bref, masculiniste.

Martin

Falsification partielle toujours possible : que l'aveu soit prouvé, implicite à défaut d'être explicite, ne prouve pas entièrement la véracité du fait invoqué. Trop nombreuses sont les falsifications de biographie par les féminazi(e)s, comme du reste par tous les autres paranoïaques et tous les autres perver(se)s, pour que nous prenions cette allégation pour de l'argent comptant.

Bien au contraire, cette façon de distiller l'information de façon détournée, lui donne une crédibilité à bon compte, qui lui permet de dissimuler bien d'autres choses, sans doute bien moins avouables. C'est un fait courant chez les militantes féminazies de se poser ainsi en victimes de la violence et de la perversité des autres, pour garantir une impunité et une justification à leurs exactions et leurs crimes. Martin D....... distille ainsi un "Il existe au moins une personne qui m'a fait souffrir de ses abus". Or chez eux il n'existe pas de différence perçue entre le quantificateur existentiel "il existe au moins un" et le quantificateur universel "tous", une seule existence invoquée, cela les encourage à propagander "Donc tous les mâles, tous les pères sont tous des abuseurs et violeurs ! A mort les pères !".

Tandis qu'un aveu est tellement répétitif chez Martin D....... qu'il nous crève les yeux : il passe sa vie à dénier le dressage des enfants comme aide-bourreaux d'un de leurs parents. Le déni de réalité a toujours une structure, qui est vite facilement lisible par l'homme de métier.
Voir l'un des exemples les plus récents :
 http://sisyphe.org/article.php3?id_article=2437
recopié à http://deonto-famille.info/index.php?topic=27.msg169#new

Dans un autre article à venir sur http://deonto-famille.info je détaillerai la faute professionnelle commise par Richard Gardner : donner un baptème spécial qui donne l'air savant et psychiatrique, au lieu de rester au langage courant, pour désigner une conduite perverse, criminelle envers les enfants, les dresser comme aide-bourreaux de l'autre parent, ou d'un de leurs parents, ou des deux parents (cas signalé plusieurs fois, où les instigateurs et corrupteurs sont un des couples de grands-parents).
Du coup, avec des observations exactes des faits réels, Gardner a formé l'amorce d'une fausse science, totalement isolée, coupée du restant de la psychopathologie.

Pourquoi a-t-il commis cette faute professionnelle ? Je présume que c'est par instinct territorial, pour poser une marque de territoire.
Il suffisait que parmi les militant(e)s victime de ce dressage de leurs enfants contre eux, se trouvassent d'autres despotes paranoïaques, eux aussi en mal de panache narcissique et de territoire, pour que se constituassent des sectes autour du S.A.P.
Fausse science contre fausse science, despotisme contre despotisme : "études féministes" contre resserrement frileux autour du territoire S.A.P...

Bref, l'un des gros inavouables dissimulés par Martin D....... est bien son dressage comme aide-bourreau d'un de ses parents (son pôpa), par l'autre parent (sa môman).

Au moins un autre inavouable ? Oui, Erin Pizzey l'a révélé clairement : ces dissimulations et ce militantisme paranoïaque et sexiste, bin ça rapporte du pognon, c'est un excellent moyen pour pomper l'argent public.

Deux gros inavouables dont on redoute le dévoilement, dont l'un parfaitement actuel, hé bien voilà, nous avons les ingrédients nécessaires pour entrer en paranoïa, et y demeurer pour le restant de ses jours.
Titre: En Martin Dufresne dans le texte...
Posté par: Jacques le 07 juin 2007, 05:42:17
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Bienvenue sur le site de la coalition anti-masculiniste.



La Coalition anti-masculiniste est un rassemblement d'individus travaillant depuis quelques mois à organiser la résistance, face à la mouvance masculiniste en général, mais plus spécifiquement face au Deuxième Congrès Parole d'Hommes, qui polluera les locaux de l'Université de Montréal du 22 au 24 avril prochain.

Plusieurs groupes militants (liste partielle affichée dans la section des liens) ont déjà manifesté leur appui à la coalition en adhérant à sa plate-forme (reproduite plus bas sur cette page).

Visitez la section "documents" du site pour des détails supplémentaires, notamment pour consulter l'horaire d'une journée d'activités et de réflexions que nous organisons le Samedi 23 avril à l'UQÀM - lieu prévu à l'origine pour la tenue du Congrès masculiniste mais dont les organisateurs furent chassés grâce à la pression des gens du milieu.



Plate-forme de la coalition anti-masculiniste

(Cliquez ici pour une version imprimable)    (Pour adhérer à cette plate-forme, cliquez ici)

Nous sommes une coalition d’individu-e-s féministes et pro-féministes qui vise à dénoncer, dans un contexte de la montée de la droite, de l'extrême droite et du relativisme politique, les discours et actions réactionnaires cherchant à dénigrer et à détruire les acquis sociaux gagnés par les femmes, pour les femmes.

1.  Le masculinisme : une mouvance de droite
Nous nous opposons au masculinisme. Le masculinisme est une mouvance réactionnaire qui s'oppose au changement social porté par le mouvement féministe. Il défend une vision traditionnelle de la famille et des rapports sociaux entre les sexes. Nous rejetons ces valeurs conservatrices et luttons pour l'émancipation des femmes et des hommes hors du carcan patriarcal. Certains masculinistes se cachent sous des dehors conciliateurs, et disent souhaiter repenser la place des hommes dans la société. Cependant, il ne faut pas être dupe de ce discours dilué et aller directement à la source. Par exemple, dans le cas du congrès Paroles d’hommes, qui dit souhaiter promouvoir une «harmonisation des relations hommes - femmes en établissant de nombreux liens entre groupes féministes et groupes hoministes », le président, Yvon Dallaire, clame ouvertement dans ses propres écrits sa défiance,  voire sa haine des féministes, et légitimise la violence faite aux femmes. Qu'on le nomme masculinisme ou hominisme, ou qu’on tente de le faire passer sous couvert d’un discours de gauche, pour nous ce mouvement reste le même, un mouvement réactionnaire, rétrograde, voire misogyne et anti-féministe.

2. Le masculinisme, un renforcement du patriarcat

Le discours masculiniste est multiple, fortement stéréotypé et met souvent de l’avant une vision du genre masculin axée sur la virilité, l’agressivité, le contrôle et le machisme tandis que les femmes devraient, par « nature », être douces, compréhensives, et surtout, obéissantes. Plusieurs masculinistes défendent une définition rigide du rôle des hommes et des femmes, et considèrent le lesbianisme et l’homosexualité comme une anomalie et un affront à la nature.

3. L'égalité : toujours un objectif

L'égalité entre les sexes n'a pas été atteinte et les hommes occupent toujours une place dominante dans la société et non pas, comme les masculinistes tentent de le faire croire, un statut de victimes face aux femmes. Doit-on rappeler qu'aujourd'hui encore, des écarts de salaires persistent toujours entre les hommes et les femmes, que l'analphabétisme, la pauvreté et la dépression sont toujours plus marqués chez ces dernières, que le travail domestique continue toujours d’être assigné aux femmes, et que la quasi totalité des victimes d'agressions à caractère sexuel sont des femmes ? L'oppression systémique des femmes est toujours bien réelle et l'égalité, toujours un objectif.

4. Les hommes ne sont pas des victimes

Il n'existe pas un nouveau système social qui infériorise les hommes. Nous rejetons l'idée que le féminisme aurait créé un apartheid sexiste anti-mâle comme l'affirme généralement le mouvement masculiniste. Ainsi, ce dernier tente de nous faire croire que les droits des femmes ont engendré la discrimination et la domination des hommes.  Nous affirmons, au contraire, que les droits des femmes ont heureusement changé le modèle de la  famille traditionnelle qui imposait aux hommes et aux femmes des rôles sociaux rigides calqués sur les stéréotypes sexuels, rôles sociaux encore trop souvent reproduits dans notre société.  Affirmer que ce changement discrimine les hommes, c'est affirmer vouloir retourner à une société conservatrice.

5.  Le mythe du naturel

Afin de pousser leur agenda conservateur, certains masculinistes expliquent et justifient la division sexuelle du travail et des rôles de chaque genre comme étant naturels, innés, donc inaltérables. Ils nient le processus de socialisation et de construction sociale à l’origine de cette division. Par le fait même, les masculinistes tentent de consolider le rôle prédominant des hommes dans les domaines de pouvoir et d’influence tels que la politique, au nom du naturel et au détriment de l’égalité.

6.  La violence : une réalité

La violence conjugale, et plus largement la violence faite aux femmes, est toujours une plaie dans notre société.  Dans la grande majorité, voire la quasi totalité des cas, ce sont les femmes qui en sont victimes et les hommes, les agresseurs. Ainsi, nous considérons que la violence masculine est un outil de sanction visant à rappeler aux femmes leur rôle dans le système patriarcal. C'est un fait social inacceptable qu'il faut enrayer et nous rejetons vigoureusement les propos affirmant que cette violence serait naturelle ou symétrique. Rappelons que certains masculinistes vont jusqu'à légitimer cette violence.

7. Avortement, contraception : libres et gratuits

Plusieurs masculinistes réclament des droits sur le ventre des femmes. Nous sommes déterminé-e-s à lutter contre la contrainte à la maternité, à défendre et renforcer l'accessibilité et le droit à l'avortement et aux moyens de contraception. Pour nous, le libre choix des femmes de contrôler leur corps est sous tous les points de vue une clé essentielle à leur émancipation.

8. Vernis scientifique

Afin d’opposer la pseudo-oppression de certains hommes à l‘oppression des femmes, les masculinistes ont souvent recours à l’utilisation de statistiques douteuses et hors contexte, en plus de créer des concepts de toutes pièces (ex.: syndrome du faux souvenir, violence conjugale symétrique). Bien qu’il existe des hommes en difficulté, il est malhonnête de considérer ces problèmes comme étant aussi importants que ceux que vivent les femmes. Nous dénonçons vigoureusement cette attitude qui a pour effet une déresponsabilisation totale des hommes face à l’oppression des femmes.

Conclusion

Voila pourquoi nous opposons au masculinisme par le biais d’une analyse féministe radicale, identifiant un système économique, politique et social qui se nomme patriarcat. Ce système institutionnalise la domination des hommes sur les femmes. Les solutions aux problèmes sociaux des femmes et des hommes se trouvent selon nous du coté du féminisme radical, de l'abolition du patriarcat et de la redéfinition des rapports sociaux de sexes.

http://www.antipatriarcat.org/antimascu/
Titre: "Fou furieux", de notoriété publique...
Posté par: Jacques le 08 juin 2007, 10:20:38
De notoriété publique :
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Dufresne n'est pas seulement en guerre contre le S.A.P. mais contre les hommes en général. Heureusement qu'il est considéré comme un fou furieux par le gouvernement au Québec.
3 juin 2007. Fil http://www.quebec-politique.com/index/post-135715.html#135715

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Le Martin Dufresne fait quoi concrètement?

Martin Dufresne tient depuis plus de 30 ans un discours ultra-misandre et généralisant sur tout les hommes. Pour ceux qui ne connaissent pas Dufresne, c'est un féministe ultra radical qui milite contre les services aux hommes depuis 30 ans. Il est tellement radical que même le conseil du statut de la femme a refusé de s'associer à lui lors de la consultation avant l'écriture du rapport du CSF sur l'égalité homme/femme.

Il est banni de la plupart des groupes de femmes qui le fuient comme la peste tellement il a mauvaise réputation. Il fallait le voir en commission parlementaire demander qu'aucun homme ne soit inclus dans un éventuel conseil de l'égalité. La raison de sa haine envers son propre sexe est qu'il s'est fait abuser sexuellement par son père dans son enfance et il a projeté sa haine sur tout les hommes. Il l'a même avoué publiquement à Claire Lamarche dans le temps.

Heureusement que Dufresne a été banni par tout instance gouvernementale il y a plusieurs années. Les hommes comme Dufresne au Québec on peut pratiquement les compter sur nos doights et ils ont tous de graves problèmes psychologiques qui leur font détester leur propre sexe.

Tu peux aller lire ces textes ultra sexistes sur son site qu'il partage avec Yannick Demers : http://www.antipatriarcat.org/
http://www.quebec-politique.com/index/post-136704.html#136704
Titre: En Martin Dufresne dans le texte, discuté par les québécois
Posté par: Jacques le 19 juin 2007, 12:25:11
Les falsifications de statistiques canadiennes par Martin Dufresne sont discutées par les québécois :

http://www.quebec-politique.com/index/topic-8941.html
Titre: En Martin Dufresne dans le texte...
Posté par: Jacques le 08 octobre 2007, 07:35:04
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    6 - FRANCE : le néopatriarcat sera voté dans huit jours
     
     
    * Je trouve assez incroyable la catastrophe qui s'apprête à s'abattre sur les
    mères divorcées françaises et sur les enfants dès l'adoption de la loi no
    784, lorsque les mecs vont se mettre du jour au lendemain à se servir de la
    présomption de garde alternée pour récupérer les pensions qu'ils cesseront
    de verser aussi sec et pour contourner les ordonnances judiciaires par des
    ententes arrachées "de gré à gré" : le truc classique du "consentement" de
    Madame!...;-(. Chantages, faillites, expulsions de logement des familles
    monoparentales, procès, répudiations, harcèlement juridique (à quant la
    WebCam chez la mère?), violences, cavales et rapts: ça va saigner... et
    personne n'en souffle mot!. Il faut vraiment que le mythe du "nouveau père"
    soit bien ancré... alors que cette loi va conforter les pères non gardiens,
    justement, cex qui sont le smoins méritants et le splus contrôlants. Un pas
    en arrière incroyable pour la France alors que tous les autres pays ont
    rejeté le modèle de la garde conjointe statutaire. Cocorico...
    Aux dernières nouvelles, les sénateurs vont voter oui demain soir et
    l'Assemblée nationale le 19 si personne ne leur met plus de pression qu'ils
    n'en ont déjà.
    Après Chirac-Jospin, le déluge!

     
    * Un des éléments de la réforme du divorce que cherche à faire voter à la
    hâte Jospin est une tentative d'instituer la "médiation" en droit de la
    famille, une sorte d'arbitrage décrété et géré par l'État et qui vient
    remplacer graduellement l'assistance juridique, le droit à une
    judiciarisation des agressions intrafamiliales et les droits des femmes et
    des enfants eux-mêmes.

    En effet, la "médiation" est une création du lobby masculiniste pour
    enlever leurs droits aux femmes face aux hommes en matière de divorce.
    N'importe qui peut s'improviser "médiateur" et bon nombre de militants
    néo-patriarcaux le font pour tenter de faire signer des ententes aux
    conjointes des hommes qui divorcent, des ententes très avantageuses pour
    les hommes, évidemment. (Quoique les médiateurs les plus efficaces soient
    des médiatrices, capables de gagner la confiance des femmes ou de mieux
    leur communiquer la menace de ce qui les attend si elles ne donnent pas
    satisfaction à Monsieur...)

    En effet, le seul principe de la médiation est la recherche d'un "accord",
    une fois les prérogatives des ayant droit supprimées. Comme les homme sont
    presque toujours ceux qui ont les plus gros revenus et que les femmes sont,
    habituellement, celles qui ont établi le rapport le plus proche aux enfants
    et qui vont exercer la prise en charge - les hommes n'en voulant pas et de
    moins en moins - ce sont les femmes qui ont des besoins matériels à combler
    par un partage matériel pour pouvoir
    poursuivre ce travail. Le terrain est donc très inégal: des ayant droit -
    les enfants et le parent gardien - contre un parent non gardien qui veut
    s'en tirer au meilleur rapport coûts-bénéfices possible.

    Dans cette situation, toute déjudiciarisation, tout compromis fondé sur un
    "accord", sans égard aux droits en cause ne peut que favoriser les hommes
    les moins impliqués dans le travail parental et les plus âpres à protéger
    leur fric. C'est ce qui explique pourquoi c'est le lobby des pères qui
    tente de faire instaurer la médiation statutaire depuis 25 ans partout dans
    le monde dans une tentative explicite pour obtenir de l'État qu'il PRIVE
    LES MÈRES DU SOUTIEN DES AVOCATS.

      Il ne faut JAMAIS aller en médiation sans un-e bon-ne avocat-e qui vous
    sait ce à quoi vous avez droit et vous aide à tenter de l'obtenir. Or le
    principe même de la médiation est de nier ce rapport antagoniste (institué
    par les hommes qui mènent une politique revancharde) et de priver les
    femmes d'une assistance et même d'un recours - on y arrive déjà en Amérique
    du Nord - juridique.

    La médiation est particulièrement destructrice des droits des femmes
    lorsqu'il y a eu de l'intimidation, de la violence affective ou de la
    violence physique exercée contre la femme et/ou ses enfants.

    Il est hallucinant de lire à quel point les parlementaires qui s'apprêtent
    à voter une réforme du divorce entièrement acquise aux menées du lobby des
    pères, sont mal informé-e-s de ce dossier en France. Mais tant que les
    "progressistes" ont aussi peu de respect pour les droits des femmes et des
    enfants à l'heure du néo-romantisme, du retour du Père...

    Je vous invite à aller lire ce que disent les féministes canadiennes de ce
    dossier au site www.owjn.org dans le MÉMOIRE du Réseau des femmes
    ontariennes pour la justice où elles parlent notamment (vous le trouverez
    avec la fonction Recherche) des dangers d'une médiation statutaire imposée
    aux femmes qui cherchent à divorcer. (...)

    Solidaire,
    Martin Dufresne Collectif masculin contre le sexisme Québec, Canada
    From: "Martin Dufresne" <martin@laurentides.net>

     

http://www.sos-sexisme.org/bulletin/2002/outlook/bulletin_2002_07.htm
Titre: Quel bel aveu, cet affolement contre "toute déjudiciarisation, toute médiation".
Posté par: Jacques le 08 octobre 2007, 10:09:03
Quel bel aveu, cette attaque affolée contre "toute déjudiciarisation, toute médiation"...
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la "médiation" est une création du lobby masculiniste pour enlever leurs droits aux femmes...

Qui aurait osé rêver un pareil aveu ?
Titre: Les enfants élevés par les Comanches sont devenus des Comanches.
Posté par: Jacques le 12 janvier 2008, 04:24:40
Citation de: Jonathan L
Je connais Martin Dufresne personnellement. Cela fait longtemps que je n'ai pas vu le bonhomme. Comme j'avais déjà dit sur un autre forum, j'ai habité avec des féministes enragées. L'une d'elle était amie avec la blonde de Martin. C'est ainsi que j'ai rencontré cet homme. Très instruit, mais l'instruction n'est pas garante d'intelligence, et surtout dans son cas d'honnêteté intellectuelle. Juste a voir sur son site les statistiques carrément mensongères sur les morts de femmes.

Les enfants élevés par les Comanches sont devenus des Comanches, voilà ce que McCabe a compris avant les autres, dans le film de John Ford "Les deux cavaliers", de 1961.
Les deux cavaliers
(Two rode together)
Film de John Ford
États-Unis, 1961, 1h45mn, VOSTF
Scénario : Frank S. Nugent d’après le roman Comanche captives de Will Cook
Avec : James Stewart (le shérif Guthrie McCabe), Richard Widmark (le lieutenant Jim Gary), Shirley Jones (Marty Purcell), Linda Cristal (Elena de la Madriaga), Andy Devine (Sergent Posey), John McIntire (Major Frazer), Henry Brandon (Quanah Parker)
Image : Charles Lawton Jr.
Musique : George Duning
Production : Columbia Pictures Corporation
Lien : http://www.arte.tv/fr/cinema-fiction/Cycle-westerns-sur-ARTE/Programme/1261238,CmC=1261012.html
Analyse plus détaillée :
Citer
L'Annonce faite à MacCabe
Avis de SylvainEtiret sur Les deux cavaliers du 15 juillet 2007

Encore un John Ford ?! Mais tu fais une thèse, ou quoi ? Ben pourquoi pas, après tout. Il y a des sujets plus arides, non ? Ce n'est pas parce les récentes busheries tendent à convaincre les étatsuniens de leur nouveau statut de Kings of the World qu'il faut rejeter en bloc tout ce que le passé leur a permis de construire, en particulier dans la capacité de certains de leurs plus glorieux artisans à se saisir de leur jeune histoire et de la retransmettre au filtre des valeurs et des lâchetés de la nature humaine. Ceci dit, et bien que planté dans la carrière de John Ford juste entre « Le Sergent Noir » et « L'Homme qui Tua Liberty Valance », « Les Deux Cavaliers » reste un western largement décrié du réalisateur.

L'histoire raconte un épisode de la confrontation entre blancs et indiens, les seconds ayant capturé un certain nombre de femmes et d'enfants des premiers et les ayant fait vivre parmi eux, les ayant prises comme compagnes pour les unes, les ayant élevés comme leur progéniture pour les autres. Sous la pression de la population voulant retrouver les prisonniers, même après plusieurs années de recherches, l'armée se décide à envoyer une expédition de récupération dans une tribu comanche. Le marshal Guthrie MacCabe (James Stewart) est recruté par le Lieutenant Jim Gary (Richard Widmark) pour mener cette tâche à bien. Devant les conditions financières qui lui sont offertes par la Major Frazer (John MacIntire), commandant la garnison, le cynique MacCabe négocie âprement avec Frazer puis avec les parents, la tête des prisonniers. Finalement, l'expédition s'engage, MacCabe étant accompagné, sur ordre de Frazer, par Gary, prétendument déserteur afin que le traité de paix en vigueur entre l'armée et les Comanches ne soit pas rompu.
Arrivés chez les indiens, les deux hommes entament les négociations avec le Chef Quanah Parker (Henry Brandon) et découvrent quelques prisonniers survivants, mais peu enclins à profiter de l'occasion pour regagner le monde des blancs : une femme prématurément vieillie trop honteuse de son sort, une jeune fille déjà affublée de quelques enfants, un jeune guerrier sauvage et chevelu, Running Wolf (David Kent), ne parlant plus un mot d'anglais. Ils découvrent même une prisonnière non signalée, une mexicaine, Elena de la Madriaga (Linda Cristal), mariée à un officier tué lors de sa capture et devenue depuis la femme de Stone Calf (Woody Strode), l'un des plus teigneux indiens de la tribu. Finalement, le retour ne ramène que Running Wolf contre son gré et Elena, seule volontaire malgré l'opposition de Stone Calf qui y perdra la vie lors de sa tentative d'assaut contre MacCabe.

A l'arrivée au fort, les parents réalisent pour la plupart les changements intervenus dans leurs enfants durant leur captivité et renoncent à leur quête, sauf pour un couple dont la femme (Jeanette Nolan) au bord de la folie insiste pour recueillir un Running Wolf de plus en plus révolté et féroce. Quant à Elena, que personne n'attendait, MacCabe et Gary tentent de lui faire réintégrer la société des blancs lors d'un bal donné à la garnison et au cours duquel se démasquent les préventions, les arrières pensées, les a priori de la bonne société. Tandis que Jim Gary noue une idylle avec Marty Purcell (Shirley Jones), qui recherchait initialement son frère, MacCabe prend fait et cause pour Elena et l'accompagnera vers une réinsertion en forme d'exil loin de cette communauté si prompte à mépriser ceux qu'elle disait vouloir retrouver.
Comme d'habitude chez John Ford, la narration s'appuie à la fois sur une collection de personnages secondaires archétypaux au risque (ou peut-être au moyen) d'un kitsch assumé (la palme ici revenant à un Woody Strode plus habitué aux rôles d'esclave noir - le Pompée de « L'Homme qui tua Liberty Valance » ou le sergent Rutledge dans « Le Sergent Noir » - qu'aux rôles de guerrier comanche féroce et musculeux), et sur une troupe d'acteurs habitués au travail avec le réalisateur. Les codes fordiens intègrent en outre une dose d'humour potache généralement assuré par quelques spécialistes à l'exemple ici, comme dans « Stagecoach » (La Chevauchée Fantastique), de Andy Devine (Sergent Posey). On voit ainsi défiler l'homme d'affaires sans scrupule (Harry J. Wringle / Willis Bouchey), le Pasteur illuminé et irresponsable (Révérend Henry Clegg / Ford Rainey) accompagné de ses deux imbéciles de fils, la vieille dame digne, maternelle et compréhensive (Abby Frazer / Olive Carey), le naïf jeune homme se donnant vainement des postures de maturité (Adjoint Ward Corby / Chet Douglas), …

Et au-delà de ces archétypes formant décors, seuls les personnages principaux ont droit à un réel traitement autour duquel se noue l'histoire elle-même. C'est qu'on n'est pas dans la perspective du cinéma d'aujourd'hui et de son inspection en règle des ressorts psychologiques des multiples personnages qui peuvent y intervenir. Ici, on en est encore à raconter une histoire, à planter un décors qui se doit d'être le plus clair possible pour ne pas nuire au propos ou le parasiter. Ce n'est pas tant, comme on l'a trop souvent reproché aux westerns, que les méchants sont bêtement méchants et les gentils béatement gentils, c'est simplement que pour que les nuances puissent être lisibles au centre de l'histoire, les personnages secondaires doivent être limpides. Même chez William Wyler à la même époque, si James MacKay ou Rufus Hannassey peuvent se permettre la nuance dans « Les Grands Espaces », c'est parce que les Buck Hannassey ou les Steeve Leech n'en ont qu'à peine la notion.
Et de quoi s'agit-il au fond ? Pas de la guerre contre les indiens que la simple mascarade d'un guerrier noir repousse immédiatement au rang de fiction. Pas de la bêtise et de la bigoterie qui ne sont là qu'en passant, à peine suggérées. Pas même l'appât du gain ou la roublardise tant elles ne sont ici que les faire valoir de ce qui se trame d'humanité au fond de MacCabe. Mais c'est la famille, cette institution tellement portée à son pinacle dans la mentalité étatsunienne, qui se détache en relief sur ce fond bigarré. Il suffisait d'ailleurs d'entendre les premières paroles de MacCabe, dans sa première scène du film, pour y relever les germes qui ne feront que lever tout au long de l'histoire. MacCabe somnolant sous l'auvent du saloon de Belle Aragon (Annelle Hayes) y est réveillé par un employé mexicain du nom de Jésus qui lui annonce, en lui déposant prudemment un verre :

MacCabe : Merci, Jesus.
Jesus : Senor, la veuve Gomez a accouché d'un fils ce matin, un garçon.
MacCabe : Fiche moi la paix avec la veuve Gomez !
Jesus : Mais senor, ça fait plus d'un an que le Senor Antonio Gomez a été enterré à l'église.
MacCabe : Et bien, il y a des hommes à qui tu ne peux simplement pas te fier pour rester à la place où tu les as mis.
Ainsi, d'emblée tout est dit. La position de la famille et de l'enfant sous l'autorité religieuse suprême pour la plupart des étatsuniens, celle dont la puissance créatrice est justement dans le Verbe, dans l'annonce de la Bonne Nouvelle, ici de la bonne nouvelle que pourrait être celle d'une naissance. Mais simultanément cette bonne nouvelle prend une allure de catastrophe compte tenu des conditions de survenue de l'événement. Avec comme seules réactions du héros américain qu'est James Stewart, la négligence et la rodomontade. Face aux convenances, face à Jésus, un Jésus tremblant devant la prise de pouvoir de l'Homme libre sur une règle qui lui serait imposée de l'extérieur. Un homme qui ne sera jamais à la place qu'on attendait de lui, qui, Marshall, négociera la vie des prisonniers avec l'armée et les parents « au prix du marché » ; un homme qui, désigné comme cupide, libèrera la prisonnière que personne ne lui réclamait et sans en espérer de rétribution ; un homme qui, ramenant les prisonniers dans leur monde de départ, y proclamera la loyauté des Comanches n'ayant fait que les laisser vivre parmi eux et avec les mêmes règles et les mêmes contraintes, loin du mépris des langues de vipères se pensant civilisées.

Quelle famille est-ce là, cette famille américaine qui veut à tout pris récupérer ses enfants comme des biens patrimoniaux au nom d'un amour qui se moque du sens unique ? Et qui pose cette question ? John Ford, ce tyran des plateaux, ce despote domestique, ce patriote dont la tombe porte le grade d'Amiral acquis durant la guerre au nom de l'Amérique ! Question exprimée par un James Stewart à rôle renversé passant de son statut habituel de héros parfait à celui de roublard n'hésitant pas sur un jerrycan de whisky ! Au cours d'une mission accompagnée d'un Richard Widmark également à front renversé tant son rôle de joli cœur aux grands sentiments dénote parmi ses emplois habituels de sale type patenté ! Tout ça dans un film de commande quasi imposé à John Ford, où la figure attendue du western aux grands espaces, aux actions aventureuses et multiples, aux fusillades pétaradantes, se transforme sans qu'on y prenne garde en un film quasiment de dialogues, aux actions parcimonieuses, aux pétarades se limitant à un coup de feu, peut-être deux, sur toute la durée du film.
Est-ce que ce serait cette surprise là qui serait responsable de la mauvaise presse de ce film inattendu ? Peut-être. Mais c'est en tout cas la preuve encore une fois que sous l'emballage du classicisme westernien pouvait couver bien autre chose, et cela sans attendre la fin de l'âge des monstres sacrés.
"A dix-sept ans, votre fils est devenu un vrai Comanche, il a probablement violé au moins une blanche, et a certainement déjà tué", explique McCabe au pasteur borné.

Martin Dufresne a été élevé en tueur de pères, il restera tueur de pères toute sa vie, incapable de réhabilitation.

L'empire ottoman utilisait de même les jeunes croates et serbes qu'il raptait dans les villages chrétiens, et les élevait dans la foi musulmane fanatique, et la honte d'être nés chrétiens : c'était les janissaires, chargés d'expier dans la guerre à mort contre les slaves chrétiens, la honte originelle d'être nés slaves et chrétiens.