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Jacques

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Violence en meute, féminine :
* le: 01 avril 2011, 06:07:08 *
Violence en meute, féminine :
http://www.nicematin.com/article/faits-divers/nice-les-sauvageonnes-rattrapees-par-la-justice

http://www.nicematin.com/print/484064?title=Nice%3A%20les%20%26quot%3Bsauvageonnes%26quot%3B%20rattrap%C3%A9es%20par%20la%20justice

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Nice: les "sauvageonnes" rattrapées par la justice
Par Christophe Cirone (ccirone@nicematin.fr)
Créé le 03/31/2011 - 09:14

« Elles se déplacent en bande et repèrent une proie. L’une d’elles s’avance vers celle-ci pour lui demander l’heure. La victime sort son téléphone, sans imaginer ce qui l’attend. C’est un Blackberry ? Alors les filles attaquent. Elles la frappent et piquent son portable. »

« Elles », à savoir les « Ghetto youth ». Une bande de gamines, violentes et en perte totale de repères, qui semait la panique depuis des mois dans les quartiers Est de Nice [1]. Ce témoignage d’un agent de l’Education nationale, basé sur des récits de victimes, laisse entrevoir le mode opératoire de cette bande à présent démantelée. Une première s’agissant de filles sur la Côte d’Azur.

« Une famille »

Un portable. Un appareil multimédia. Mais aussi un simple regard de travers ou une tenue vestimentaire pas à leur goût. Il n’en fallait pas plus à la « Ghetto youth » pour passer à l’action. La Sûreté départementale, qui a interpellé dix jeunes suspects au saut du lit (neuf mardi, un hier), leur impute au bas mot 21 agressions. Et sans doute plus encore, certaines victimes n’ayant pas déposé plainte.
Des faits particulièrement inquiétants, s’agissant de gosses âgés de 13 à 16 ans. 12 ans, même, pour celle arrêtée hier. A ce stade, les policiers niçois ont placé en garde à vue huit filles et deux garçons, après deux mois d’une enquête qui aura mobilisé une trentaine de fonctionnaires. Une enquête toujours en cours, du reste, avec en toile de fond le plan national anti-bandes. Pour l’heure, trois gamines doivent s’expliquer ce matin devant la justice niçoise.

Ces « sauvageonnes », ainsi que les ont rebaptisées les policiers, se sont particulièrement “ illustrées ” lors d’agressions qui ont valu à certaines victimes une ITT (interruption totale de travail). « Elles mettent des grosses bagues ou des clés entre les doigts pour frapper. Parfois un gant avec une pierre dedans », affirme Lola*, une de leurs « copines ».

D’après elle, le nom « Ghetto youth » s’inspirerait des garçons, des « grands », dont ces gamines issues de quartiers sensibles (Bon-Voyage et l’Ariane) auraient suivi le mauvais exemple. « Pour elles, c’est une deuxième famille. Il n’y a rien de prévu. Elles savent juste qu’elles vont se battre quand elles partent en ville. A présent, elles cherchent même plus à parler. Elles frappent direct ! Elles sont pas mauvaises, au fond. Ça les amuse... »

Agressions filmées

Terrible amusement, partagé via Facebook où elles postaient les vidéos de leurs « exploits ». Si la police conteste le fait qu’elles aient utilisé des armes, un enquêteur s’avoue « atterré » par leur comportement. « Prises isolément, ce sont des lâches, juste décérébrées et insolentes. Mais elles recherchent la domination, entraînées par l’effet de groupe et un gros manque d’éducation... »

Quelles solutions pour recadrer de si jeunes délinquantes ? Aux magistrats d’en décider à présent. Hormis les trois filles déférées au parquet ce matin, les autres suspects ont été remis en liberté. Trois d’entre eux vont être mis en examen. La justice convoquera les quatre autres ultérieurement.
 
*Le prénom a été modifié.
Photos / vidéos
Auteur : (Photo C. C.)
Légende : D’après cette « copine » de la bande, celle-ci incarnerait une « deuxième famille » pour des gamines adeptes d’une violence volontiers gratuite, qui tissaient leurs liens et diffusaient leurs “ exploits ” via Facebook.
Visuel 1:

URL source: http://www.nicematin.com/article/faits-divers/nice-les-sauvageonnes-rattrapees-par-la-justice

Liens:
[1] http://www.nicematin.com/article/cote-dazur/nice-les-gamines-semaient-la-terreur

La puissance de la meute et leur sadisme leur servaient d'apparence de courage.

Les féminazies des .hyènesdeGuerre ou de SOS-Sexism, ou de sisyphe.org n'agissent pas autrement : la violence de meute et le sadisme, sous couleur de "Nous sommes toutes victimes et devons nous venger !"
L'une d'elles exigeait 11 500 euros de rançon, en récompense de ses flots d'insultes :
http://debats.caton-censeur.org/index.php?option=com_content&task=view&id=23&Itemid=46
Elle a perdu.

Jacques

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Jennifer McKendrick, photographe, désapprouve le harcèlement sur le Net.
* Réponse #1 le: 28 août 2011, 03:05:28 *
* Modifié: 28 août 2011, 03:07:22 par Jacques *
Jennifer McKendrick, photographe, désapprouve le harcèlement sur le Net.

http://www.huffingtonpost.com/2011/08/19/jennifer-mckendrick-penns_n_931324.html

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Jennifer McKendrick, Pennsylvania Photographer, Refuses To Photograph Teen Bullies

A Pennsylvania photographer has chosen not to photograph a group of high school girls for their senior portraits after she found evidence of the teens bullying other students on Facebook.

Jennifer McKendrick, from Indiana County, Pa., wrote on her own Facebook page earlier this week that she came across another Facebook page with nasty comments from four high school girls whose names matched her scheduled clients.

She emailed the girls and their parents to cancel their senior photo shoots, while including screenshots of their comments to explain why she was calling off the session.

McKendrick wrote more about her decision on her personal blog in a post titled "I Won't Photograph Ugly People."

"I mean how could I spend two hours with someone during our session trying to make beautiful photos of them knowing they could do such UGLY things," McKendrick writes. "Realistically, I know by canceling their shoots it's not going to make them 'nicer people' but I refuse to let people like that represent my business."

The photographer told WTAE-TV that the comments she saw were more than just targeting other students for appearance.

"It was beyond 'your clothes are ugly' or 'you don't have any brand clothes' or 'you are ugly, your hair is not right," McKendrick told WTAE-TV. "It was vicious. It was talking about sexuality."

Her Facebook page has since been flooded with hundreds of comments from people supporting her decision.

McKendrick blogs that she hasn't received backlash for her decision so far, but she's prepared if she does. Two of the teens' parents responded to her with apologies, noting that they were surprised by their daughters' actions.

"If you are ugly on the inside, I'm sorry but I won't take your photos to make you look pretty on the outside … I simply don't want to photograph ugly people," she writes.

Tss tss tss !
Des femmes "bullying", "ugly inside", mais ça se peut presque pas !

M'enfin, il suffit de regarder la propagande que les féminazies qui nous gouvernent ont placardé dans tous les commissariats de France :
http://debats.caton-censeur.org/index.php?option=com_content&task=view&id=101&Itemid=57
Là il est expliqué très clairement que par essence les hommes sont violents, immatures et batteurs de femmes, tandis que par essence les femmes sont victimes, jamais bourrelles.

Encore une preuve, Sainte Michèle Dayras vierge et martyre écrivait dans son forum à elle qu'elle a, le 22/08/2001 à 02:02:56 :
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« Pour moi, tout homme est un " salaud " en puissance, comme on pourrait dire que tout homme est un violeur ou un intégirste en puissance. Je pense, aorès tant d'années passées à militer, qu'il ne s'agit que d'une question de degré dans l'abjection, ce qui fait que certains hommes peuvent passer pour sympa...»
Et comme vous le savez toutes, le militantisme emporte avec lui sa propre preuve. Grâce à la passion militante, que ce soit ici pour la guerre sexiste, ailleurs pour la fin du monde imminente pour 1872, (oups !) 1874, (oups !) 1914, (oups !) 1975 (oups !) ou 2034, ailleurs pour les cinquante millions de réfugiés climatiques avant 2010, (oups !) avant 2020, (oups !) avant 2050, il n'est pas besoin de preuves scientifiquement vérifiées : la passion militante pourvoit à tout.