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Un couple de lesbiennes obligé de reconnaître les droits du "géniteur"

http://www.lemonde.fr/societe/article/2013/07/31/un-couple-de-lesbienne-oblige-de-reconnaitre-les-droits-du-geniteur_3455830_3224.html

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Un couple de lesbiennes obligé de reconnaître les droits du "géniteur"

Le Monde.fr avec AFP | 31.07.2013 à 14h47 •


Quatre mois après le vote sur le mariage gay, une affaire, en apparence anodine, relance le débat sur la définition juridique des droits des familles homoparentales. Un couple de lesbiennes s'est ainsi vu contraindre, mercredi 31 juillet, par la justice de Nantes, de reconnaître les droits de visite et d'hébergement du père biologique de son enfant. A l'origine "simple géniteur", l'homme a décidé de reconnaître le bébé quelques mois après sa naissance.

L'enfant, né il y a près de deux ans à Orléans (Loiret), a été conçu hors relation sexuelle. Le "père" n'était autre que "le meilleur ami du couple à qui a été demandé d'être le donneur de sperme", explique son avocate, Me Magali Castelli-Maurice.

En soi, cette demande des droits est "on ne peut plus classique", souligne-elle, sauf que dans ce cas précis, "on a un couple d'homosexuelles qui a refusé la présence du père".

UNE QUESTION EN "JACHÈRE"

Dès lors, quelles sont les droits, pour l'adoption de l'enfant, de la compagne et future épouse de la maman par rapport au géniteur ?

Pour l'avocate du couple de lesbiennes, Me Bouillon, la future épouse "ne pourra adopter que dans le cadre de l'adoption simple. Et il faut que le père consente à cette adoption", même si "tout cela est en jachère". La mère, elle, a fait valoir que "la famille, c'est moi et ma compagne. On n'avait pas prévu que ce monsieur viendrait revendiquer ses droits." Cette situation "bouleverse notre famille".

Toute la question, résume Me Bouillon, dans ce dossier, est "ce qui fait famille et comment les familles homoparentales doivent se préparer à composer une organisation parentale à plus de deux".

Lundi 29 juillet, le juge des affaires familiales s'était déjà orienté vers un droit de visite et d'hébergement classique, confirmé par la décision de la justice de Nantes.

Tout ça, c'est encore la faute du complot masculiniste et patriarcal, si nous les lesbiennes, donc l'élite incarnée, sommes encore obligées d'utiliser du sperme de mâle, pour faire notre cheptel d'enfants auxquels nous avons droit  !
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« Celui qui bouge a son compte » dans Actualités
« Newest par Jacques le 10 août 2013, 02:09:25  »
http://www.varmatin.com/toulon/deux-et-trois-ans-ferme-pour-avoir-lache-leur-chien-dattaque-dans-un-train-entre-marseille-et.1355958.html
http://www.varmatin.com/toulon/agresse-dans-un-ter-entre-marseille-et-toulon-ils-ont-lache-le-chien-c%E2%80%99etait-la-panique-total.1359434.html

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Deux et trois ans ferme pour avoir lâché leur chien d'attaque dans un train entre Marseille et Toulon
Publié le mardi 06 août 2013 à 12h09

Deux hommes de la banlieue nord de Paris ont été condamnés ce lundi après-midi par le tribunal correctionnel de Toulon, pour avoir agressé deux passagers à bord d'un train, dans la soirée de ce samedi.

Ils ont été condamnés à deux et trois ans de prison avec mandat de dépôt, une sanction immédiate et ferme, pour des faits très violents. Le week-end dernier, les deux frères, âgés de 23 et 28 ans, ont littéralement lâché leur chien d'attaque sur un passager, alors que le TER circulait entre Marseille de Toulon.

Ils avaient allumé un joint et fumaient à l'intérieur du wagon. Le passager leur a demandé de l'éteindre. Réaction immédiate, les Parisiens n'ont pas hésité à ordonner au chien de mordre.

L'American Stafford Terrier a sauté à la gorge de la victime. Le passager a juste évité une blessure plus grave encore, en se protégeant avec son bras. Vu par un médecin, il a une incapacité de moins huit jours. Un second voyageur a lui-aussi été mordu, en tentant d'intervenir.

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Agressé dans un TER entre Marseille et Toulon: "Ils ont lâché le chien, c’était la panique totale"
Publié le vendredi 09 août 2013 à 08h44



Var-matin a recueilli le témoignage de Stéphane S., attaqué par un chien dangereux, samedi soir dans un train. De Marseille à Toulon, son trajet s’est transformé en un voyage infernal

Il est debout. Sans regret. Mais profondément choqué par les violences qu'il a subies samedi soir, alors qu'il rentrait du travail par le train express régional de 20 h 35. Stéphane S., 34 ans, est agent de sécurité dans un supermarché à Marseille.

Pas le genre de garçon à chercher des embrouilles, ni à être effrayé par une discussion houleuse. Avec le recul, il sait que seuls ses bons réflexes l'ont sauvé de blessures graves. Pendant quelques minutes, il a affronté les crocs et les coups. Les assauts répétés d'un chien d'attaque, et de deux agresseurs.

Les plaies au bras et à l'arcade sourcilière sont presque cicatrisées. Bien plus vite que la blessure morale.

« T'es qui ? Le train n'est pas à toi »

Le train roule à hauteur de Bandol, samedi soir vers 21 h. Dans un wagon à l'avant du TER, deux voyageurs s'allument un joint. Ils ont avec eux un american stafford terrier, un chien possiblement dangereux. Stéphane raconte la suite.

« Ils ont allumé leur joint. Je leur ai dit qu'il fallait l'éteindre. Tout de suite ils m'ont répondu : "Qui tu es, toi pour dire ça, le train n'est pas à toi...". Ils ont détaché le chien et l'ont lancé sur moi. »

« Le chien, il décollait du sol »

« Physiquement, je connais les techniques. Je me suis mis en position de défense. » Il mime le geste, rassemble ses deux avant-bras devant le visage et remonte un genou contre son corps.

Il était debout, appuyé au wagon. « Heureusement, si j'avais été assis, le chien m'attrapait à la tête, j'étais foutu. »

L'attaque a duré de longues minutes.

« Le chien, il décollait du sol sans arrêt, il était tout le temps sur moi. Mais il ne m'a pas attrapé, alors ça a énervé l'un des deux, qui est passé par-derrière, pour me mettre des coups de poings pour m'affaiblir. »

Sa chemise blanche est couverte de sang.

« Celui qui bouge a son compte »

Dans le wagon, les passagers sont tétanisés. « Tout le monde criait, c'était la panique totale dans le train. Ils ont dit : "Celui qui bouge, il a son compte". Un seul en a eu le courage, c'est celui qui a été mordu au ventre. Je crois qu'il est sans papiers. Au commissariat, il a dit qu'il n'avait pas sa carte d'identité sur lui. Après, il a disparu. »

Quand le chien fond sur le second voyageur, « tout le monde grimpait sur les fauteuils ». Stéphane n'hésite plus, il bat provisoirement en retraite.

« Ma chance, c'est que la porte de la cabine du conducteur était ouverte. » Mais encore le chien et les frères sont à ses trousses. « Je revois la mâchoire du chien, ses muscles. Il y a plein de choses qui me reviennent dans la tête. » Son regard se perd, absent. Lourd.

La fuite et le pardon

Finalement, le conducteur stoppe le train. Les deux voyous s'échappent. Stéphane est consterné. « Si je les laisse partir, ils vont recommencer sur quelqu'un d'autre », s'exclame-t-il. Il part derrière le frère qui n'a pas le chien avec lui. Ce sera le premier interpellé par la police. Le second le sera environ une demi-heure plus tard.

Stéphane était présent à l'audience, la justice lui a demandé d'être là pour témoigner. Son récit était primordial. « En entrant dans la salle, ils m'ont demandé pardon. J'ai accepté leurs excuses. » Le tribunal non. La dette vis-à-vis de la société ne sera payée qu'à la sortie de prison.

Problème : Et quand c'est le tribunal, qui est délinquant et mafieux, impatient de spolier et suicider un maximum de mâles, surtout des pères ? Quelle solidarité pouvez-vous attendre de la part des prochaines autres victimes de la même clique délinquante ? Quand c'est le procureur qui lance : « Celui qui bouge a son compte » ? Quand c'est le procureur qui fait passer en garde à vue, pour les intimider, tous les témoins gênants qu'il veut faire taire pour protéger sa collègue la JAF ?
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Toutes des victimes... dans Rires et humour
« Newest par Jacques le 21 juin 2013, 04:40:04  »
Alors comme cela nous en étions aux violences faites aux femmes, qui sont toutes des victimes, etc. etc.

Exemple (dû à Bédu et Cauvin dans "Areuh") :

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De l'abominable jr :


-------- Message original --------
Sujet: Re: La pédophilie pour tous, c'est bientôt !
Date : 14 Jun 2013 16:13:50 GMT
De : jr <jqs@froc.net>
Organisation : Guest of ProXad - France
Groupes de discussion: fr.soc.politique,fr.soc.feminisme
Références : <51b61b99$0$2122$426a74cc@news.free.fr> <51b6ae39$0$18742$426a74cc@news.free.fr> <kp6c36$a9k$1@speranza.aioe.org> <51b6b49b$0$2283$426a34cc@news.free.fr> <kp6cv4$bun$1@speranza.aioe.org> <kp6dr6$kf4$1@dest1.org> <51b6bbe1$0$2097$426a34cc@news.free.fr> <kp6f34$kp1$1@dest1.org> <51b6c041$0$2386$426a34cc@news.free.fr> <51b6dc48$0$2103$426a74cc@news.free.fr> <b1of2fF39ohU1@mid.individual.net> <51b71fc0$0$2055$426a74cc@news.free.fr> <kp7geq$9hg$1@dont-email.me> <1l4czn4.1y1xlak13fpo2nN%dmkgbt@free.invalid> <51b88d22$0$2239$426a74cc@news.free.fr>

Christian Navis <christian.navis@free.fr> wrote:

> Horresco referens pour les féministes aux vagins secs, les serveuses
> volubiles auraient été vexées qu'on ne leur mette pas la main au panier.

Vous devriez cesser d'afficher votre hétérosexualité, c'est dégoûtant.

--
jr


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Encore de "Cecilia", 22 mars 2013 à 2 h 49 :
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Les psychologues étant de parfaits imbéciles,
Date: Fri, 22 Mar 2013 02:49:10 +0100
Message-Id: <pan.2013.03.22.01.46.20.448520@no.mail>
Newsgroups: fr.soc.feminisme

Même groupe, plus tard dans la matinée :
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Date: Fri, 22 Mar 2013 08:42:24 +0100
From: jr <jqs@froc.net>
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 =?ISO-8859-1?Q?rimination_=E0l=27embauche?=
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Le 22/03/2013 02:49, Cecilia a écrit :

> Les psychologues étant de parfaits imbéciles,

Sans aller jusque là, il semble quand même que l'absence totale de
psychologie soit un prérequis pour les études de psycho. Ça aide aussi
d'avoir un compte à régler avec une autorité quelconque.

--
http://rouillard.org/s.jpg
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Subject: Re: Une lesbienne bat à mort un petit garçon parce qu'il ne l'appelle pas "papa"
Date: Mon, 18 Feb 2013 13:56:36 +0100
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macho, facho, minable, p'tite bite, ducon.
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Liens :
http://www.lemonde.fr/societe/article/2012/11/14/a-marseille-une-psychiatre-sur-le-banc-des-prevenus_1790218_3224.html
http://www.lemonde.fr/societe/article/2012/12/18/la-psychiatre-d-un-patient-meurtrier-condamnee-a-un-an-de-prison-avec-sursis_1807975_3224.html

La profession des psychiatres dans la salle faisait tout le raffut qu'elle pouvait, pour protester contre la mise en examen de Danièle Canarelli.
Ils ont raison sur un point : le préfet et la préfecture aussi sont coupables.

La psychiatre est demeurée prisonnière de ses émotions, de ses mobiles transféro-transférentiels : on néglige de se faire superviser, quand on sort de fac de médecine.
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Le docteur Canarelli se refuse pourtant à poser ce diagnostic. Elle lève régulièrement les mesures d'hospitalisation d'office et lui accorde des permissions de sortie. Au président qui lui demande pourquoi elle n'a pas suivi les recommandations de ses confrères sur la nécessité de soumettre Joël Gaillard à un cadre psychiatrique plus contraignant, elle répond: "On ne peut pas toujours être dans la coercition." "Mais comment soigner un patient qui n'est pas consentant autrement que par la coercition?", intervient le président. "J'étais dans une relation de confiance avec lui. Il venait à tous les rendez-vous, ce qui est rare, et il n'y avait aucun incident de comportement pendant les hospitalisations. Le consentement du patient est essentiel si l'on veut engager une relation thérapeutique dans la durée."

Fabrice Castoldi plonge dans le dossier, en extrait un bout du rapport du docteur Archambault: "Au fil des années, le docteur Canarelli n'a pas tenu compte des avis des différents psychiatres et experts qui avaient formulé un diagnostic particulièrement clair. Il y a eu en quelque sorte un enfermement dans le déni, le déni de Joël Gaillard ayant entraîné un déni de l'équipe soignante." Elle répond: "C'était un patient plus compliqué que les autres. J'étais confrontée à une énigme. J'étais convaincue qu'il présentait une pathologie psychotique mais j'étais embarrassée par l'absence de symptômes."

Le président lui demande alors, abruptement: "Mais pourquoi n'avez-vous pas passé la main?

- Ce n'est pas si facile que ça de passer un patient à une autre équipe.
"

Pour Danièle Canarelli, la principale difficulté est à venir. En février2004, de nouveaux clignotants s'allument. La soeur de Joël Gaillard prévient le médecin que son frère est très agressif et qu'il profère des menaces de mort. Au même moment, le patient ne se présente pas à un rendez-vous avec sa psychiatre car il s'est blessé à la main et doit subir une opération. Les conditions de la blessure  - une coupure grave, à la suite d'une altercation à l'arme blanche - inquiètent le docteur Canarelli qui demande son transfert dans son service psychiatrique après l'opération. Lorsqu'il se présente quelques jours plus tard devant elle, elle lui annonce qu'elle va le réhospitaliser. L'entretien tourne court, Joël Gaillard se lève brutalement et quitte le pavillon où la médecin, qui est seule avec un infirmier, ne peut pas le retenir. "Nous n'avons pas tenté. Il était mal et aurait pu nous faire mal. Nous n'avons pas eu le temps de prévenir les renforts.

- Mais vous n'aviez pas imaginé l'hypothèse d'une fugue?

- Non, il était calme.
"

Elle attend trois heures pour signaler sa fuite à la police. "Mais ça veut dire qu'un patient part dans la cité alors que vous nous dites qu'il était mal et qu'il pouvait faire mal...", observe le président.

On sent que ses questions font monter l'indignation dans le public de professionnels massé au fond de la salle d'audience. "Il faudrait que les juges viennent faire un stage dans les hôpitaux psychiatriques", murmure une femme à sa voisine. Trois semaines plus tard, Joël Gaillard se présente devant le domicile de sa grand-mère et frappe à mort la tête de son compagnon, Germain Trabuc.

"Cette affaire, c'est la chronique d'une mort annoncée, relève Me Gérard Chemla, avocat du fils de la victime. On ne peut pas se laisser enfermer dans un raisonnement absurde selon lequel la justice n'a aucune compétence pour juger les malades mentaux et qu'il faut les remettre à l'institution psychiatrique. Une poursuite comme celle-ci est saine. Il y a un moment où la défense sociale doit passer avant le patient", conclut-il.

François Lelord a avoué avoir aussi laissé échapper un cyclothymique en pleine crise d'exaltation, parfaitement dangereux pour lui même et les autres, notamment son épouse.
Ça s'est bien terminé parce qu'il a été arrêté en excès de vitesse, s'est battu avec les flics, qui l'ont alors arrêté et interné. Sans cela...

Un commentaire de lectrice :
Citation de: Pascale Walter
Par ailleurs, créer une relation avec un malade ne donne pas forcément à cette relation un caractère thérapeutique, même si on est médecin.

De fait, devenir thérapeute, ça s'apprend, et pas forcément en fac de médecine.  Ne serait-ce qu'en raison d'une des règles de base de la psychothérapie : on se fait superviser. Or justement, prisonniers de leurs privilèges légaux et de leur complexe de supériorité, ceux qui sortent de médecine détestent se faire superviser. Leur transféro-transférentiel en reste volontiers au n'importe quoi. Il semble bien que la Danièle Canarelli était bien dans ce cas.

Le juge pour enfants Jean-Pierre Rosenzweig a raconté un cas similaire, où s'il se laissait gouverner par l'émotion, il restituait leurs enfants placés, à un couple qui lui semblait parfait. Il a la conscience d'ouvrir le dossier, et houla, houla, houla... Nombreuses violences envers ces enfants, des gens à double face.

Des psychothérapeutes romains ont eu aussi affaire à un piège à cons : un enfant schizophrène à double face, ange devant eux, démon en famille. Seul un des témoignages qu'ils auraient risqué de négliger, leur a donné la clé de l'énigme. Source ? Andolfi, Angelo, Nichilo Andolfi ? ESF.

S'occuper de psychotiques, ça n'est pas pour blancs-becs, esclaves de leurs émotions.


Un classique à consulter :
Jacques-Antoine Malarewicz. Supervision en thérapie Systémique. ESF.
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http://www.iol.co.za/news/south-africa/mom-lesbian-lover-imprisoned-for-boy-s-death-1.305130#.UJphvMVmK3E

Four-year-old Jandre Botha died for refusing to call his mother's lesbian partner "daddy".

Now the two women will spend the next two decades in jail for his death.

Magistrate Retha Willemse on Monday referred to Hannelie Botha, the mother who allowed her lesbian partner, Engelina de Nysschen, to assault and kill her son, as a "passive participant" in his murder.

She sentenced De Nysschen to 20 years for murder, five years for assault and two years for defeating the ends of justice - an effective jail sentence of 25 years.

Botha, 31, got 15 years for her passive role in the murder. She was further sentenced to five years for assaulting the boy with the intention to do grievous bodily harm, and a further two years for misleading medical authorities and police officers about Jandre's cause of death.

The Vereeniging Magistrate's Court ruled that the five-year sentence must run concurrently with the two years before ordering that Botha stay behind bars for an effective 20 years.

The women were ordered never to own firearms upon their release.

Citation de: Rachel
Path: news.alphanet.ch!alphanet.ch!goblin1!goblin2!goblin.stu.neva.ru!feeder.erje.net!eu.feeder.erje.net!de-l.enfer-du-nord.net!feeder1.enfer-du-nord.net!gegeweb.org!feeder.news.orange.fr!not-for-mail
From: "Rachel" <Rachel@nomail.fr>
Newsgroups: fr.soc.politique,fr.soc.feminisme
References: <50D23575.1030603@saturnin.gouv.palmipedes> <katliu$7o9$1@dest1.org> <kaungc$sbl$1@speranza.aioe.org> <ajgbefF71gnU1@mid.individual.net> <kauvj6$mb8$1@dest1.org>
Subject: Re: Une lesbienne bat à mort un petit garçon parce qu'il ne l'appelle pas "papa"
Date: Thu, 20 Dec 2012 18:56:24 +0100
X-Priority: 3
X-MSMail-Priority: Normal
X-Newsreader: Microsoft Outlook Express 6.00.2900.5931
X-MimeOLE: Produced By Microsoft MimeOLE V6.00.2900.6157
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Lines: 16
Message-ID: <50d35146$0$1402$ba4acef3@reader.news.orange.fr>
Organization: les newsgroups par Orange
NNTP-Posting-Date: 20 Dec 2012 18:56:22 CET
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Xref: news.alphanet.ch fr.soc.politique:3868351 fr.soc.feminisme:294819


"sedenion" <root@sedenion.42> a écrit dans le message de news:
kauvj6$mb8$1@dest1.org...
> Le 20/12/2012 12:34, jr a écrit :
>> Vi enfin, dans le genre battage en mousse d'une anecdote, ça se pose là.
>> On vous a parlé des enfants battus dans les couples hétéros?
>
> Oui mais eux c'est différent, ce sont de sales hétéros réactionnaires et
> rétrogrades, et justement on se bat quotidiennement contre cette infamie
> du couple hétérosexuel qui est la cause de toutes les misères du monde, et
> surtout les hommes, qui sont de loin les plus horribles créatures que
> l'univers ai jamais connu.

Un instant de lucidité ?


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Un outil pour le rôle pédagogique des modérateurs. dans Directives permanente, charte
« Newest par Jacques le 20 décembre 2012, 05:10:41  »
On sait qu'il n'existe nulle part de démocratie sur le Net, juste une concurrence bordélique entre despotisme locaux par de petits potentats, avec ou sans meute de courtisans autour du chef de meute. Il reste aux auteurs qui font ombrage à la nullité du potentat local la liberté de voter avec ses pieds, puis de devenir ouebmestres à leur tour, pour être leur propre éditeur.

On sait que j'ai fait deux innovations pour tenter de remédier à ce retard mental généralisé :

1. Octobre 2005 : Faire une place réservée explicitement à l'opposion, où elle peut développer ses contre-projets :
http://debats.aristeides.info/index.php?option=com_fireboard&Itemid=26&func=showcat&catid=34
ou http://forum.aristeides.info/index.php?board=34.0

Or Benjamin n'est pas un opposant, mais le cofondateur du site. Nous ne nous sommes opposés qu'une fois, sur un autre site, sur ce que j'ai trouvé être une maladresse de sa part. Cette première innovation n'a donc en réalité jamais servi.

2. Mars 2006 : Séparer nettement le débat populaire du débat savant dans un même site, afin qu'aucun ne puisse étrangler l'autre :
http://deonto-famille.info/index.php?action=forum
Là encore, le succès n'est que très partiel : pour une fois les démagogues populistes n'ont pas pu égorger le débat savant, mais le débat populaire est atone. Ils ont préféré se taper sur le ventre ailleurs, où il ne font rien d'autre, mais vraiment rien d'autre...

Depuis, certes j'ai raffiné la charte des des débats, notamment autour des obligations de prouver ses affirmations, même quand le débat est vif, mais les modérateurs autres que fondateurs ont du mal à en dégager des lignes d'action, pour chaque cas pratique qui se présente. La transmission des principes déontologique ne s'est pas encore faite, et il est temps de s'interroger sur ce retard.

Aujourdhui, je trace le cahier des charges d'une modification à faire à SMF (et à d'autres logiciels de forum, du reste), pour aider les modérateurs à assumer leur rôle de pédagogie, dans la maîtrise démocratique des débats et de leur tenue.

Le principe de base, généralement incompréhensible aux geeks, nerds  et dorks, est que l'opposition est normale et nécessaire, voire vitale pour l'information que la majorité aurait négligée, mais que majorité comme opposition ont toutes deux et des droits, et des obligations.

A charge pour le ouebmestre de créer la place "Purgatoire", où seront stockés les messages litigieux, à corriger par leur auteur même.

Si un message litigieux est en tête de fil, le bouton "déplacer ce fil de discussion" fait l'affaire. Il suffit au modérateur de documenter le motif du déplacement, et les points à corriger par l'auteur.

A charge pour les programmeurs de créer le bouton "envoyer au purgatoire", à disposition des modérateurs.
Ce bouton déplace ce message, lui seul sans le fil de discussion, vers le purgatoire, tout en laissant un sabot à la place initiale, conservant le nom et les droits de l'auteur initial, mais où le modérateur aura écrit quels points ont motivé le renvoi et devront être corrigés.

Voilà pour la partie technique à programmer.
L'idée est que le rôle du modérateur n'est plus que de répression, mais aussi d'assumer enfin sa part de pédagogie.
Je ne prévois pas de garde-fou programmé, qui interdirait au délinquant léger de devenir récidiviste et abuseur. Les outils de répression ordinaires à la disposition du modérateur doivent faire l'affaire. L'innnovation est de commencer par lui faire confiance pour s'amender sur le sub-forum purgatoire, jusqu'à y obtenir approbation. Alors il a le droit de copier-coller son message amendé à l'emplacement initial, qui n'a pas été détruit au passage.

Il me semble que cette idée mérite un débat de principe, avant le débat technique.

A vous !
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Mais seulement dans la suprématie... dans Les comparses qui interfèrent
« Newest par Jacques le 14 décembre 2012, 05:06:04  »
Première découverte du site ZoneZeroGene de Gaëlle-Marie Zimmerman au printemps 2011. Dans feu le forum de Watchtowerlies, un TJ fortement embrigadé et inhibé tâchait de nous convaincre que les caresses bucco-génitales, ça ne donnait pas de plaisir. Un peu de recherche vers une référence qui ne soit pas porno, et voici la page idoine, à présent disparue sauf sur ma sauvegarde : "Le 69,  que rien n'empêche le cul tête-bêche ! _ Zone Zéro Gêne.htm". Le malheureux TJ s'enfuit épouvanté.

Depuis, ce site ZoneZeroGene est fermé, avant que j'en donne des références. Je n'avais que du bien à dire de toutes les pages, sauf une.
Sauf une, sans doute celle titrée "Aucune envie de baiser, libido à zéro. Tout va très bien. Et vous ? " dans laquelle elle prenait un plaisir évident à décrire les semaines, les mois, les années entières où madame n'a aucune envie de sexe, et impose la pénurie à son partenaire de vie. Une seule personne est présente dans son discours, son Moi-moi-moi-moi toute seule, avec ses mes-mes-mes-mes pulsions et ses mes-mes-mes-mes non-pulsions.
Savoir marcher sur la tête des autres demeure un idéal bourgeois. Marcher aussi sur la tête de son son conjoint ? Oui, en féminisme c'est un idéal, à condition que ce soit la femme qui marche sur la tête du mari.
Du coup je n'ai jamais écrit nulle part du bien de GMZ.
Oui, il y a toujours de bons articles, mais... Mais bien qu'elle ait fait des efforts les premiers temps pour ne pas être (trop) sexiste, c'est systématiquement gynocentré, et de plus en plus gynocentré, et de plus en plus autoritaire et colérique. L'héritage gynarque demeure l'horizon indépassable.

Là où les bornes sont passées, c'est le tweet :
Citer
Parce qu’être une femme, c’est aussi être censé se contenter béatement de magazines qui donnent des conseils stupides et intrusifs, @LaPeste, (Gaëlle-Marie Zimmerman dans la vraie vie), journaliste et chroniqueuse au Plus, revient sur le fabuleux article d’Elle : « La fellation, le ciment du couple ? »

    G-M Zimmermann @LaPeste

    #cherecarlabruni ma génération a besoin du féminisme pour que la pipe ne soit plus le ciment du couple dans les magazines de merde.
    27 Nov 12

Consommatrice éclairée, égoïste, dominatrice, qui place ses pulsions au dessus de tous.
Ça fait envie ?
Non.

Il est facile, trop facile peut-être, de lui opposer les fondamentaux.
Par exemple dans Stephen R. Covey. J'ai déjà exposé que chez cet auteur, 4 % m'horripilent : son culte pour sa religion, de WASP.
Le reste, les 96 % sont de l'or, car Covey est un WASP intelligent.
Extrait :
Citer
Lors d'un séminaire sur la proactivité, un homme est venu me voir et m'a demandé :
"Stephen, j'ai apprécié ce que vous avez dit. Mais toutes les situations sont différentes. Il n'y a qu'à voir mon mariage. Ma femme et moi nous n'avons plus du tout les mêmes sentiments qu'autrefois l'un envers l'autre. Je pense que nous ne nous aimons plus. Qu'est-ce que je peux faire ? Nous avons trois enfants, et cela nous inquiète. Qu'est-ce que vous me suggérez ?
-  Aimez-la
, lui répondis-je.
Mais comme je vous l'ai dit, nous n'éprouvons plus de sentiments l'un pour l'autre.
-  Aimez-la.
-  Vous ne comprenez pas. il n'y a plus aucun amour entre nous, nos sentiments ont disparu.
-  Eh bien aimez-la. S'il n'y a plus de sentiments entre vous, c'est une bonne raison pour l'aimer.
-  Mais comment peut-on aimer quelqu'un que l'on n'aime plus ?
-  Aimer est un verbe. L'amour, le sentiment d'amour, est le fruit de ce verbe. Donc aimez-la. Rendez-lui service, sacrifiez-vous pour elle, appuyez-la, soutenez-la, appréciez-la. Est-ce que vous avez vrament envie de faire tout ça ?
"

Dans la grande littérature des sociétés civilisées, "aimer" est un verbe. Les réactifs en font un sentiment par lequel ils se laissent conduire. Mais si nos sentiments commandent nos actions, c'est que nous avons abdiqué devant eux, en leur permettant ainsi de prendre le dessus sur nos responsabilités.
Pour les proactifs, "aimer" reste un verbe, une action, un sacrifice que l'on fait, un don de soi...
...
L'amour est une valeur actualisée par des actes. Les proactifs subordonnent leurs sentiments à  leurs valeurs ; pour eux, l'amour peut être reconquis.

Stephen Covey est évidemment un extraterrestre pour les féministes, qui vivent collectivement pour le déni de l'autre, s'il est de sexe mâle.
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