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Jacques

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Féminisme et hommes roses, par François Brooks
* le: 12 novembre 2007, 07:12:37 *
* Modifié: 12 novembre 2007, 07:37:33 par Jacques *
http://www.philo5.com/Feminisme-Masculisme/980604%20Feminisme%20et%20hommes%20roses.htm

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Féminisme et hommes roses

par François Brooks

Aujourd’hui, pour être bien vus, les hommes doivent épouser — publiquement du moins — la “cause” féministe. Le mea-culpa collectif de ces hommes roses me fait penser à une scène de sado-maso où l’homme à genoux prend le fouet et se frappe lui-même à défaut de femelle pour le faire. Le summum de la domination n’est-il pas que la victime se frappe elle-même devant son “humiliateur”, comme un chien tend sa laisse à son maître? Les féministes n’ont cesse de nous faire croire que c’est pour l’égalité et prétendent que dans les rapports hommes-femmes la femme a toujours été humiliée, sous-estimée, tenue pour moindre que l’homme. Pourtant, au Québec, n’avons-nous pas, depuis toujours vécu dans une société matriarcale?

 

Nous vivons dans une société monogame. Lors des divorces, il est reconnu que ce sont les femmes qui obtiennent le plus souvent, et de loin, la garde des enfants ainsi que la pension alimentaire qui vient avec. Traditionnellement, la maison familiale était le domaine de la femme ; ne la désignait-on pas comme “maîtresse du foyer”? Elle organisait le gîte familial comme bon lui semblait et l’homme n’y venait que pour s’y reposer et porter sa paye entre les longues heures de travail à l’extérieur. On a trouvé le moyen, encore une fois, de le reprocher aux hommes en les traitant de “pères absents” alors que le bien-être dans lequel leurs enfants vivaient jadis était la représentation même de la présence du père auprès d’eux. La maison, c’était ça la présence du père. C’était aussi les meubles, la nourriture et les vêtements sans bien sûr amoindrir la participation ménagère de la mère.

 

D’aussi loin que je me souvienne, dans ma famille des deux côtés, (12 chez les Brooks et 6 chez les Beyries) les femmes (mes tantes) ont toujours tenu le haut du pavé. L’image autoritaire de l’homme est largement surfaite et, en ce qui me concerne, n’était que l’exception. Les décisions importantes étaient prises par mes tantes et l’oncle n’avait qu’à obtempérer, faire le petit chien. La dynamique familiale est facile à comprendre : l’homme, naturellement polygame mais coincé dans un régime monogame, n’avait qu’à bien se conduire s’il voulait avoir droit à son “biscuit”. Le cul menait le monde aussi à cette époque là et les femmes savaient tirer parti de l’avantage que le régime monogamique leur procurait. Si les femmes de jadis tenaient tant à garder secrète leur vie sexuelle, ne peut-on pas penser qu’il pouvait y avoir quelque chose de honteux dans celle-ci? Et ce quelque chose pourrait-il avoir été la manipulation de l’homme pour son droit de couche? Et ces éventuelles manipulations ne peuvent-elles pas expliquer la violence que ceux-ci se sentaient parfois légitimés d’exercer?[1] Si nous pensons à la vie dans un régime polygamique, on voit tout de suite que ce rapport de force serait en faveur de l’homme mais, comment se fait-il que dans notre régime monogamique actuel nous ayons pu berner les hommes au point de leur faire croire que ce soient eux les oppresseurs? Dans une société où ce sont les femmes qui tiennent le haut du pavé, doit-on s’étonner que l’homme mou de jadis se soit transformé en homme rose?

 

Comparé au père, la maîtresse du foyer n’avait-elle pas alors un ascendant culturel supplémentaire sur ses enfants? N’est-ce pas principalement d’elle dont les enfants héritaient leur langue et leurs valeurs — ne dit-on pas langue maternelle et non pas langue paternelle? Puisqu’elle était le plus souvent avec ses enfants son influence était prépondérante. Comment a-t-on pu minimiser le rôle de la femme au foyer au point de faire croire à toute une génération (et même plus) que celle-ci était inférieure?

 

Il est reconnu que c’est en bas âge que l’éducation exerce d’importance la plus grande influence sur les enfants. Pour ma part, je n’ai pas connu d’enseignants masculins avant ma huitième année. Pour mes sept premières années d’école je n’ai jamais eu que des femmes pour m’enseigner. Et c’était jadis, au Québec, la règle dans la très grande majorité des écoles. Comment les femmes peuvent-elles maintenant soutenir avoir eu jadis un rôle social secondaire?

 

Ce féminisme malade n’est-il pas une nouvelle lutte de classes qui cherche à nous faire gober le mensonge que c’est l’homme l’oppresseur qu’il faut combattre? Dans notre tradition chrétienne, l’opprimé n’a-t-il pas toujours eu bonne figure? Et c’est ce rôle que s’octroie la féministe sachant que l’opinion populaire penchera en sa faveur. Mais il faut être aveugle pour prendre au sérieux le discours qui prétend que l’homme est l’oppresseur et que la femme est une victime. Il est entendu que sur le plan physique, en moyenne, les hommes sont plus forts que les femmes mais il y a belle lurette que les moyens techniques ont contourné cette “inégalité”. D’ailleurs, le partage des tâches dans une famille traditionnelle était fait en complémentarité. Celui-ci tenait généralement compte de cette différence : les hommes faisaient le dur labeur exigeant une plus grande force physique et les femmes accomplissaient celles, non moins utiles, qui nécessitaient moins de force physique.

 

L’arrivée massive de la femme sur le marché du travail a doublé la main d’œuvre disponible et réduit considérablement la natalité. Jadis l’homme travaillait et, supporté par une administration avisée de la ménagère (la femme au foyer), son salaire suffisait à élever de  nombreux enfants. Mes grands-parents (du côté de mon père) ont élevé douze enfants avec le salaire de mon grand-père qui travaillait comme chauffeur d’autobus à la CTM[2] (aujourd’hui la STCUM[3]). Avec deux revenus semblables, aujourd’hui, l’homme et la femme arrivent tout juste à élever un ou deux enfants puisqu’une bonne partie de leurs revenus ira pour les frais de garde et pour la deuxième voiture. C’est comme si les femmes avaient troqué leurs enfants (à ne pas naître) contre un statut social, une job, un standing de vie. Mais qui donc a été assez malin pour faire acheter aux femmes qu’un travail rémunéré avait plus de valeur qu’une famille avec des enfants? Comment a-t-on réussi à enlever de l’esprit des femmes que le rôle fondamental, viscéral, de mère de famille contribuait moins à leur émancipation, à leur réalisation personnelle? Comment se fait-il que, pour elles, ce soit devenu la carrière d’abord, la famille ensuite?

 

La famille est reléguée au deuxième plan. C’est l’économie, le niveau de vie, qui a pris le plus d’importance dans nos préoccupations quotidiennes. Si bien qu’on achète (parfois) véritablement des enfants à l’étranger aujourd’hui (18 000$ pour une petite Chinoise, ça vous intéresse?[4]) plutôt que d’accueillir ceux de chez nous dont la DPJ[5] ne sait plus quoi faire. Ça nous donne, en même temps qu’une jolie petite poupée aux yeux bridés, la bonne conscience d’avoir aidé le tiers-monde et l’espoir d’élever ce qui sera dans l’avenir une femme qui viendra grossir les rangs et prêter main forte, au besoin, aux revendications féministes. Pensant bien faire, on ne fait que contribuer à aggraver le problème, puisqu’en Chine, la mentalité favorisant la naissance des garçons prépare, à terme , le problème de manque de filles à marier. Sans responsabilités, un homme reste un éternel adolescent.

 

Il se trouve que maintenant, la plupart des revendications féministes sont là pour régler un problème qui ne se posait même pas à l’époque de ma mère. (Exemple : parité salariale, présence du père, accès aux métiers, représentation dans les universités.) Loin de moi la tentation d’affirmer que son époque était idéale. Mais les féministes, tout en réclamant “l’égalité” n’ont-elles pas introduit la dysfonction familiale et les problèmes pour lesquels elles revendiquent actuellement. Avec les moyens dont nous disposons aujourd’hui, ne pourrions-nous pas libérer beaucoup de temps pour nous et nos familles si les couples s’accordaient à vivre des rôles complémentaires, et non compétitifs. Mais pour cela, il faudrait que l’amour revienne et ce n’est pas demain la veille. Nous sommes si préoccupés et si pressés que nous n’avons même pas le temps d’être heureux. Alors pour l’amour, vous repasserez.

 


[1] Je pense ici à la superbe scène du film Le grand chemin ou le mari, interprété par Richard Bohringer, devait pratiquement se battre pour faire l’amour avec sa femme qui ne voulait pas avoir d’enfant.

 [2] Commission de Transport de Montréal

 [3] Société de Transport de la Communauté Urbaine de Montréal

 [4] Lire le texte : 980508, Chinoises à vendre.

 [5] Direction de la Protection de la Jeunesse

Jacques

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"les enfants gardés ont moins de comportements violents".
* Réponse #1 le: 12 novembre 2007, 07:23:29 *
* Modifié: 12 novembre 2007, 07:34:26 par Jacques *
"Info" originale à : http://www.cyberpresse.ca/article/20071106/CPACTUEL/711060891/5358/CPPRESSE

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Cyberpresse

Le mardi 06 nov 2007

Les enfants gardés ont moins de comportements violents

Charles Côté

La Presse

Les enfants qui sont gardés hors de la maison sur une base régulière et à un très jeune âge courent beaucoup moins de risques de devenir violents.

C'est la conclusion d'une importante étude québécoise qui a été publiée hier dans une prestigieuse revue américaine de psychiatrie (Archives of General Psychiatry).

«Les parents s'inquiètent souvent d'envoyer leurs enfants à la garderie, mais il n'y a pas de risque du point de vue de la violence», dit la signataire de l'article, Sylvana Côté, professeur de médecine sociale et préventive à l'Université de Montréal et chercheuse à l'hôpital Sainte-Justine.

«Au contraire, dit-elle, on voit un impact positif pour les enfants des mères qui ont un faible niveau d'éducation.»

Dans cette étude sans précédent, des chercheurs de six universités (quatre québécoises, une américaine et une néerlandaise) ont uni leurs forces. Ils ont suivi 1691 enfants québécois, choisis au hasard et nés en 1996 et 1997.

Parmi ceux-ci, 111 n'ont pas fréquenté de garderie avant l'âge de 6 ans, tandis que 234 l'ont fait avant l'âge de 9 mois et 1346 après 9 mois.

Chaque année, les chercheurs ont rencontré les mères afin de mesurer la fréquence de comportements violents ou agressifs chez leur enfant, selon cinq critères reconnus (coups, morsures, coups de pied, batailles et intimidation). Résultat: dépendant du type de milieu dont ils sont issus, les enfants gardés hors du foyer sur une base régulière courent jusqu'à cinq fois moins de risques d'avoir un comportement violent.

Les enfants qui ont le plus à gagner à fréquenter une garderie sont ceux dont la mère n'a pas de diplôme d'études secondaires (DES). Dans ce cas, la mère qui fait garder son enfant avant l'âge de 9 mois divise par cinq les risques qu'il adopte un comportement violent. Si elle attend après 9 mois, son enfant a quand même presque trois fois moins de risque d'être violent (2,8 fois moins).

Chez les mères ayant au moins un DES, la fréquentation d'une garderie n'a pas d'influence sur le niveau de violence des enfants.

«C'est une excellente nouvelle pour les centres de la petite enfance» dit Mme Côté, qui détient un doctorat en psychologie. L'étude porte cependant sur tous les types de gardes confondus (CPE, milieu familial, garde chez des parents).

Elle ajoute que le développement de l'agression physique est «un comportement normal», mais que les enfants doivent apprendre à l'éviter. «La petite enfance, c'est un moment important pour socialiser, apprendre d'autres stratégies que la violence», dit-elle.

Du même coup, elle déplore que les enfants qui ont le plus à gagner des services de garde soient ceux qui les fréquentent le moins. «Chez les mères sans diplôme, 12% des enfants ne vont jamais en garderie, alors que c'est le cas pour seulement 5% des mères avec diplôme», dit Mme Côté.

Les chercheurs ont contrôlé d'autres variables chez la mère, comme son âge, la présence d'antécédents criminels ou de dépression. On a aussi tenu compte de la situation familiale et des facteurs propres à l'enfant, comme le fait d'être né avant terme ou pas.

Mais le niveau d'éducation de la mère apparaît comme un facteur déterminant. «On ne dit pas que toutes les mères qui n'ont pas leur DES sont des mauvaises mères, mais c'est un puissant prédicteur», dit Mme Côté.

La recherche sur le même échantillon d'enfants, aujourd'hui âgés de 10 ans, va se poursuivre au cours des prochaines années, sous l'égide du Groupe de recherche sur l'inadaptation psychosociale chez l'enfant de l'Université de Montréal (GRIP). Au cours de 2008, on pourra connaître les données sur le développement cognitif (langage, maturité scolaire, mémoire, connaissance des nombres). «Ensuite, le développement affectif sera notre prochaine cible», dit Mme Côté.


Réaction à :

http://garscontent.com/2007/Quart%204/711_Novembre/8/FDJ.htm

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Je suis un professeur retraité depuis 15 ans. Depuis plusieurs mois je lis vos éditoriaux avec grand intérêt. J'y trouve un style vivant qui exprime, parfois avec humour et ironie, une indignation, voire une exaspération bien compréhensible et qui va de soi. Les principes que vous énoncez et qui tournent autour de la famille, la vraie, me conviennent parfaitement.

Je vous soumets le cas suivant: la une de la Presse de ce matin affirme que "les enfants gardés ont moins de comportements violents". On y affirme que les enfants gardés hors de la maison et à un très jeune âge courent beaucoup moins de risques de devenir violents. On parle d'une "importante étude québécoise" . Quand on fouille le texte, on découvre qu'il s'agit d'une fumisterie incroyable: l'échantillon, divisé en strates inégales, a peu de chances d'être représentatif de la population; la méthodologie (questions posées aux mères, donc aucune observation directe des enfants) est plus que suspecte. Et l'auteur de cette étude bidon, une certaine Sylvana Côté reconnaît candidement que chez les mères possédant au moins un diplôme du cours secondaire, donc la plupart des mères, la fréquentation d'une garderie n'a pas d'influence sur la violence des enfants. Nulle part on ne définit ce qu'est la violence. On voit que cette pseudo recherche ne vise qu'à la promotion des CPE. Comment un journal supposé sérieux peut-il être complice d'un tel obscurantisme en ridiculisant la recherche scientifique? L'intelligentsia féministe est partout.

Le printemps dernier, mon petit-fils faisait une demande d'admission à la faculté de médecine de l'université de Montréal. Ses résultats de CEGEP étaient excellents et le test écrit qu'on lui a fait passer était bien réussi. Mais il a raté l'entrevue obligatoire qui compte pour la moitié des points: cette entrevue était conduite par deux femmes professeurs qui ont conclu qu'il n'avait pas le profil pour être médecin. Quand je consulte un médecin, je ne veux pas qu'il se montre compatissant, mais qu'il soit compétent et qu'il me guérisse. Je crois que mon petit-fils aurait été un bon médecin. Il s'est donc tourné vers la médecine dentaire et comme dentiste il fera autant d'argent qu'un médecin. Mais le Québec aura perdu un bon médecin. Et mes taxes serviront à instruire une étudiante qui sera plus compatissante, mais qui travaillera dix heures de moins par semaine.

Voilà pourquoi, à mon âge, je ne fais pas que jouer au golf. L'injustice me révolte, surtout quand elle est dirigée vers les forts, ceux qui font fonctionner cette société. Encore quelques années de ce régime féministe et c'est la fin de la culture, la fin de la civilisation, l'anarchie. Comme vous, je vois venir ce jour. Continuez votre bon travail. Certains jours, vous devez vous fouetter pour rester optimiste, mais il faut que quelqu'un se dévoue pour l'avenir. Je vous salue avec respect.
J... L...
Boisbriand

Jacques

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APRÈS LES ENFANTS DU DUPLESSISME VOICI LES ENFANTS DU FÉMINISME :
* Réponse #2 le: 12 novembre 2007, 07:33:25 *
http://www.lbr.ca/article-4-7178.html

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Après les enfants du duplessisme

Voici les enfants du féminisme!...
2007-11-11 08:14 - Commentaire d'opinion

"Un enfant est un invité dans une maison qu'on doit aimer et respecter, jamais posséder!" (J-D Salinger)


- / LBR.ca / - Le jeudi 8 novembre dernier, se tenait à l'Hôtel Hyatt Regency de Montréal, un colloque organisé dans le cadre des activités marquant le 25e anniversaire de Pro-gam inc. Le thème du colloque était le suivant: "Regards sur l'intervention en violence conjugale au Québec: chemins parcourus et défis à relever". Deux représentants de L'APRÈS-RUPTURE étaient présents lors du colloque et n'hésitent pas à affirmer que ce colloque a été un échec total. Précisons que L'APRÈS-RUPTURE était le seul organisme présent au colloque qui a pris la défense des hommes du Québec victimes de violence conjugale, des pères en particulier, et de leurs enfants.

Ce colloque constitue un autre triste exemple des dégâts du féminisme québécois à l'endroit de la paternité et du droit inaliénable des enfants de garder un lien sigificatif avec leur père lors d'une rupture de la cellule familiale à l'occasion d'un divorce/séparation. L'idéologie exclusive véhiculée lors du colloque se résume tout simplement à ceci: dans un contexte de violence conjugale, les hommes, les pères, sont des brutes, des tyrans et les femmes, les mères, la pure réincanation de la Vierge Marie!

La salle était constituée presqu'exclusivement d'intervenantes féministes qui travaillent dans des maisons d'hébergement ou dans des domaines connexes dont les activités coûtent annuellement aux contribuables des millions de dollars. On a eu droit à la récitation mélodramatique de l'évangile féministe victimaire habituel si lucratif, le tout savamment orchestré par le célèbre journaliste de service Marc Laurendeau qui était affecté ce jour-là d'une terrible crise de misandrie aiguë. Monsieur Laurendeau aurait attrapé cette terrible maladie lors d'une visite d'une maison d'hébergement pour femmes supposément violentées peu de temps avant la tenue du colloque...

La preuve du "fléau" de la violence faite aux femmes remonte à 1985, suite à la publication d'un document officiel signé par un ministre d'alors, monsieur Guy Chevrette, qui affirmait sans preuves à l'appui, que les gros méchants mâles du Québec battaient 300 000 femmes annuellement. Le cash puisé dans les poches des contribuables est venu par la suite engraisser nos féministes professionnelles qui, de colloques en colloques, de déclarations publiques en déclarations publiques, de versements abondants de larmes de crocodiles en versements, ont entretenu ce mensonge finalement révélé par l'équipe de recherche de L'APRÈS-RUPTURE en 2004 grâce à la Loi d'accès à l'information. Vingt ans de fraude avec la bénédiction du Ministère de la santé et des services sociaux et celui de la Sécurité publique! Révélation qui n'a rien donné puisque la supercherie perdure encore aujourd'hui et qu'elle constitue une véritable poule aux oeufs d'or pour une flopée d'organismes féministes, pour de pseudo-chercheurs universitaires spécialisés, paraît-il, dans la l'étude de la violence conjugale qui ont présenté lors du colloque de savants graphiques compris par eux seuls.

La recherche québécoise en violence conjugale est biaisée, tronquée, dénuées de toute crédibilité, car elle est filtrée, déformée par l'idéologie féministe. Tout chercheur québécois qui désire obtenir des subventions pour analyser le phénomène de la violence conjugale doit au préalable s'agenouiller devant l'autel du féminisme. Il se doit d'adhérer inconditionnellement au précepte fondamental du féminisme: hommes coupables et femmes victimes! Tout chercheur québécois consciencieux et digne de ce nom aurait avantage à consulter les recherches américaines objectives actuelles qui sont en train de mettre en pièces l'idéologie féministe et prouver que celle-ci est fondée sur des mensonges en série et des études tripotées. Ces recherches américaines blindées, scientifiquement inattaquables, démontrent que la violence conjugale est l'affaire tout autant des hommes que des femmes, vérité incontournable malheureusement encore tabou dans le domaine de la recherche québécoise.

Et les enfants? Le noeud du problème, les véritables victimes, ceux qui payent le prix des supercheries féministes... D'innocentes victimes utilisées, manipulées par des intervenantes payées, soudoyées, avec l'argent des citoyens, des intervenantes frustrées qui ont des comptes à régler avec les hommes, souvent des intervenantes à l'orientation sexuelle problématique qui projettent sur les enfants leur mépris de tout ce qui est masculin.

Le Québec, dans le passé, fut aux prises avec les enfants du duplessisme. Aujourd'hui, les enfants du Québec, dans un contexte de violence conjugale, sont aux prises avec le féminisme dévastateur présent dans les maisons d'hébergement. Qui interviendra pour les sauver d'une idéologie destructrice? Qui interviendra pour qu'ils retrouvent une image paternelle positive? Quel tribunal foutra en prison ces féministes avaleuses de subventions qui ont contribué à détruire nos familles? Qui mettra fin au buffet ouvert financier accordé à des chercheurs incompétents et sexistes?

Le colloque sur la violence conjugale de Pro-gram est un autre signe que le droit des enfants à profiter pleinement de l'amour paternel malgré la violence conjugale est gravement affecté par le lobby féministe. L'APRES-RUPTURE l'affirme haut et fort!

Nous tenons toutefois à souligner l'excellente conférence du Dr Gilles Julien, pédiatre social, qui a donné l'heure juste pour ce qui concerne la souffrance de trop d'enfants dans une société qui prétend outrageusement les aimer. À souligner aussi la prestation de M. Steve Bélanger, psychologue, qui a osé prendre la défense des hommes victimes dans un contexte de violence conjugale.

Jean-Pierre Gagnon
pour l'équipe de recherche de
L'APRÈS-RUPTURE


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