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Jacques

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Re: Ce toubab qui se vantait de tuer à distance...
* le: 17 octobre 2010, 09:17:42 *
* Modifié: 12 janvier 2021, 04:16:24 par Jacques *
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Path: news.alphanet.ch!alphanet.ch!goblin1!goblin2!goblin.stu.neva.ru!aioe.org!not-for-mail
From: "Lili" <lililily@invalid.com>
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Subject: Re: Ce toubab qui se vantait de tuer à distance...
Date: Sun, 17 Oct 2010 12:34:23 -0000
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Message-ID: <i9eqh7$ud$1@speranza.aioe.org>
References: <i942lb$abg$1@shakotay.alphanet.ch> <i94a37$qgm$1@shakotay.alphanet.ch> <A5ito.24154$W96.4945@newsfe08.iad> <i94fir$f0f$1@shakotay.alphanet.ch>
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"jc_lavau" <NolavauSpamjac@cleube-internet.effer> a écrit dans le message de
news: i94fir$f0f$1@shakotay.alphanet.ch...
> Le 13/10/2010 15:02, Ramone Ramone a écrit :
>> Le 13/10/2010 14:52, jc_lavau a écrit :
>>
>>>
>>> Pinoteau a manoeuvré Orange pour faire effacer une page à "Kavlan".
>>> Du coup, c'est moi qui héberge toute la partie zététique de Cavelan,
>>> aux Etats, et Pinoteau se casse les dents là dessus :
>>> http://zetetique.deonto-ethics.org/
>>>
>>>
>>
>> qu'il prenne un domaine chez 1and1 et demande à ce registrar de ne pas
>> publier ses coordonnées, tout à fait possible chez eux
>
> C'est toute la différence entre Cavelan et moi-même d'une part,
> Jean-Claude Pinoteau et Jean-Paul Douhait alias Cascus, alias
> jeanpapol, alias Isaac, alias Violette Dubois, alias Pierre Szmydt,
> alias Jacky, alias cassidile, alias vendredi, alias Ixe, alias
> incognito, alias corbeau, alias jderrida, alias tsts Mouche, (etc.)
> d'autre part.
> Contrairement à la criminalité organisée, nous n'avons rien à cacher,
> nous.

Oh que si il en a à cacher, le père de Bertrand Lavau! Après lui avoir
pourri sa jeunesse, il n'a cessé de le harceler, même chez son employeur, au
point que Bertrand s'est senti obligé de passer dans la clandestinité, sans
protection sociale, sans cotisation à la retraite. Bertrand qui a maintenant
32 ans, est terrorisé par son père, a perdu tous ses repères. Le père ne
parle d'ailleurs jamais de son fils sur son site personnel alors qu'il est
très disert sur les autres membres.

Ces agissements de harcèlement sont punis par le code pénal :

http://www.legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do?cidTexte=LEGITEXT000006070719&idArticle=LEGIARTI000006417711&dateTexte=20100209

Alors, toujours rien à cacher ?

Lili, une amie (du fils)

Bon anniversaire, Bertrand !

Alors comme cela, ta prétendue amie prétend que tu te plains qu'on ne parle pas de toi ?
C'est faux, comme du reste la totalité des autres allégations du gang.
C'est faux, et je prouve que tu es connu à l'échelon international dans la francophonie :
http://www.adminet.ca/Cawailleurs/111/le-mobbing
http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/Joie_de_nuire.htm
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Du point de vue de la médecine du travail, du point de vue du management des ressources humaines, et enfin du point de vue de la santé publique et des familles, il faut donc se poser la question si le plus grand dommage subi par les entreprises et la nation française dans son ensemble, n'est pas celui implanté dans ceux des complices qui sont complices par peur. En exploitant ainsi leur poltronnerie, le leader du mobbing s'assure de la disparition de leurs capacités d'analyse, de leurs capacités de création, de leurs capacité de courage, de leurs capacités de synthèse. Il s'assure de leur infirmité mentale, il se garantit leur inintelligence, il se garantit de dominer à vie ces brain-damaged : il les a ligotés en les corrompant comme complices ; voilà qu'ils ont désormais gros à se reprocher, et ont donc tout intérêt à falsifier leur mémoire biographique.

Comment leur « image de soi » va-t-elle réagir pour occulter les faits ? Le cas est d'autant plus grave pour les enfants, recrutés comme mobsters contre un ou deux de leurs parents, ou comme tortionnaires d'une partie de leur fratrie. Ils sont alors acculés à devenir falsificateurs de leur propre mémoire biographique. L'intelligence chute vite sous cette contrainte. Sur le plan scolaire, cela se voit à une chute des notes en Histoire, en français, langues, et philosophie : ils intègrent l'interdiction de penser et de se souvenir. Hors scolaire, ce sont la créativité et l'initiative qui sont détruites. La parole devient inintelligible, la logique du discours se décompose. Chutent ensuite les mathématiques et les sciences : la joie de comprendre et la joie de découvrir, c'est du dangereux car cela pourrait réveiller la jalousie des mobsters en chef. Ne subsistent que les matières à orientation anale et d'exploitation de son prochain : le droit privé, la comptabilité, le contrôle de gestion, le commerce vu comme art du mensonge. Telle est mon observation de ces dix-sept dernières années.

On manque des procédés de réhabilitation des complices du mobster en chef. Ils ont été recrutés comme actionneurs de la maladie du chef, pour qu'il se sente moins seul en sa folie.

http://info.deonto-famille.org/index.php?topic=252.0
http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/L_enfant_terre_d_invasion_facile.html
http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/mission_parricide/psychotherapeutes_talentueux.html
Voir notamment "Les questions des petits génies.", "Toi, tu veux que je sois sage...", "Les soucis de Sigbert".
http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/mission_parricide/Conflits_de_sensorialites.htm
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Quant à Sigbert ? A trois ans, il m'accompagnait au Club Microtel, et tapotait sur les claviers tous les mots qu'il voulait apprendre. J'ai retrouvé le listing, où sont imprimés les mots tapés par Sigbert : papa, maman, (tous nos prénoms), fauteuil, etc... Sigbert est tombé dans l'informatique quand il était tout petit, et il y est toujours resté, gardant le même goût pour conduire toutes les machines, depuis la « petite bourrette » de ses deux ans (vous aviez reconnu une brouette ?), les vélos, les planches à roulettes, et plus tard les kayaks et les voiliers, jusqu'aux ordinateurs, et moult autres dispositifs électroniques. A neuf ans, à Noël 1987, il utilisait les signes typographiques disponibles (sous CP/M), pour dessiner un Optimist sur le courrier qu'il tapait à sa grand-mère. Ce courrier a servi à ma mère : dans le conseil d'administration d'une association, une femme voulait faire partager sa phobie des ordinateurs en secrétariat. Anne sortit alors de son sac le courrier de Sigbert : « Voilà ce qu'un garçon de neuf ans fait avec. »

Sur mon courrier du 11 mai 1993, on le voit écrivant des programmes Pascal de plus de 40 pages (avec quelques routines en assembleur, de presque une page chacune), entièrement de tête, sans jamais imprimer son listing, pour animer des schtroumpfs à l'écran.

http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/mission_parricide/au_viol2.html
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J'ai entendu Frédégonde endoctriner Sigbert (neuf ans et onze mois alors) contre son père : « et papa ne s'intéressera jamais à tes études ! Et même s'il fait semblant de s'y intéresser, alors ne le crois pas, ce n'est que du semblant ! C'est toujours un menteur, et nous ne comptons pas pour lui ! Il se fiche pas mal de nous ! ». Elle ne savait pas que je les écoutais du couloir, et que je les entendais dans la cuisine.
...
Sigbert a aussi commencé à pagayer, et j'ai bien aimé sa façon de tirer sa longue langue vers son nez, pour mieux s'appliquer à virer entre les piquets du slalom. Sigbert, lui, était vraiment doué.
...
J'ai retrouvé sur mon disque dur les courriers du 6 et du 19 juin 1995, à la Caisse Nationale d'Epargne de Chalons : Frédégonde avait volé dans le classeur le livret d'épargne de Sigbert, contenant 100 000 F économisés pour acheter la future maison. Elle s'était entendue avec Sigbert, mineur, pour se partager le butin, en vidant le livret vers son compte postal à elle, récemment majeure. Selon mes souvenirs, Sigbert n'aurait volatilisé à lui seul que 25 000 F à lui seul, en un mois, avant de décider que ce jeu là lui suffisait, et qu'il abandonnait tout le reste du butin à la seule Frédégonde. Ces deux courriers étaient une tentative pour obtenir une trace écrite de la volatilisation de la somme subtilisée. Je demandais en outre que l'enveloppe de leurs réponses ne soit pas facilement identifiable, pour ne pas inciter Frédégonde à nous les subtiliser : nous travaillions tous deux, alors que Frédégonde était à ne rien faire, à la maison.

On comprend que Frédégonde ait ensuite tant tenu à éliminer un témoin à la mémoire trop claire et trop fidèle !
...
Pendant trois ans, de l'été 1993, à l'été 1996, j'avais bénéficié d'une relative accalmie dans les sévices. Toujours naïf et bénin, je m'imaginais qu'il s'agissait d'une vraie rémission dans la maladie mentale de Gazonbleu. Il n'en était rien. Ce n'était qu'un renversement d'alliance tout tactique et provisoire. En réalité, ayant semé la tempête, Gazonbleu récoltait la houle, et commençait à souffrir à son tour de l'attitude des deux aînés, Frédégonde et Sigbert, qui commençaient à se conduire envers elle de façon aussi atroce que celle dont ils avaient pris l'habitude de se conduire contre leur père, avec une violence comparable, et multipliant les larcins - jusqu'à 30 000 F en une fois en janvier 95, dont nous ne récupérâmes que 5 000 F environ. Dans un tel retour de bâton, Gazonbleu a quand même ressenti le besoin de s'appuyer quelque peu sur son mari, quand même plus stable et plus sérieux... Et ces deux aînés ont ressenti comme une trahison, un tel renversement d'alliance : ils étaient habitués à une belle unanimité vers la famille monoparentale à tout prix.

Durant l'année scolaire 95-96, alertée par les larcins précédents, Gazonbleu s'inquiéta enfin du comportement de parasite dilapideur de Frédégonde : « Si nous disparaissions, Frédégonde dilapiderait en moins de trois ans tout l'héritage de Sigbert et d'Audowere. Comment les protéger contre elle ? »

http://jacques.lavau.deonto-ethique.eu/mission_parricide/Un_de_nous_deux_est_fou.html
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Sigbert a volé son grand-père, qui avait l'imprudence de transporter son argent liquide avec lui. Puis il s'est fait prendre à voler dans un magasin. Après avoir été le petit prince le plus épanoui et le plus attachant qu'on ait connu, Sigbert avait sombré dans une grande jalousie après la naissance d'Audowere, huit ans plus tard. Le psychologue de la P.M.I., fit exprimer Sigbert, qui avait plein de demandes à formuler, surtout envers son père. Je fis alors remarquer que ces demandes allaient à l'encontre des moeurs familiales dominantes, de biffer et supprimer le père le plus possible, et donc de priver Sigbert au maximum de son père.
... Deux autres occasions furent gaspillées de même. Sigbert continua d'aller mal, et de déraisonner ...
... Et mon fils Sigbert reste lourdement handicapé par tous les aspects du "On parle pas à table !", ni ailleurs.
...
l'attitude de Gazonbleu s'amenda. Elle commença alors un renversement d'alliance, qui fut perçu par Frédégonde, puis plus tard aussi par Sigbert, comme une odieuse trahison : ils ne comprenaient plus le fonctionnement de la famille. Pourquoi cessait-il d'être basé sur le passage à tabac du bouc émissaire ?
... Sur le plan de la méthode scientifique, que pourtant je voulais m'astreindre à suivre, il est regrettable que je n'aie pas encore écrit les chapitres étudiant en détail les développements de la jalousie entre frères et soeurs, notamment de Sigbert envers Audowere. 
Et j'en oublie sûrement.
On a discuté en d'autres lieux de ta jalousie particulièrement violente envers ta soeur cadette, et du prix écrasant que tu avais payé à l'entrée puerpérale en psychose durable de ta môman, qui t'a fait sauter une classe pour t'envoyer à l'autre bout de la ville. On a mentionné aussi M. Guyot, ton prof principal en 6e, qui a tenté de faire cesser le massacre qui était sur toi, à te trouver depuis trois ans bien au dessus de ta maturité réelle. Mais rien ne pouvait entamer la rigidité ni l'orgueil de la paranoïaque de combat, et tu restas en échec scolaire jusqu'à redoubler ton bac. Et ne parlons pas de la suite...

Je ne crois pas, mais alors pas du tout que l'anonyme à l'adresse dissimulée, soit un(e) ami(e) à mon fils. En effet j'ai quand même quelque peu étudié la victimologie à la fac, et quelques autres contraintes de la réhabilitation et des bourreaux, et des suppliciés.

J'ai appris notamment que si vous trouvez deux services (ou une famille divisée) qui ne peuvent plus se parler, qui sont en bisbille incompréhensible, il faut trouver le psychotique qui projette sur eux son clivage, et les manoeuvre à leur insu. Le trouver est intellectuellement satisfaisant quand on découvre que c'était un schizophrène dans une institution pour, mais ça devient inconfortable quand l'enquête prouve  que le psychotique en question est un chef de service. Toi, tu es le seul à n'avoir pas encore détecté quelle est la psychotique qui projette sur toi son clivage. Tu es vraiment le seul.

Aux écoles, j'ai aussi appris que les meilleurs futurs psychothérapeutes familiaux n'était pas ceux aux études les plus brillantes, mais ceux qui vite étaient capable de renouer des relation personnelles avec chacun des membres de leur famille élargie. Voilà vingt-quatre ans que la psychotique en chef manoeuvre pour te faire rompre toute relation personnelle avec le mari qu'elle s'était choisi.

Aux écoles, j'ai appris aussi que les victimes authentiques cherchaient à comprendre, à faire parler le bourreau ou tortionnaire, à le faire s'expliquer sur ce qu'il avait dans la tête. Et tu vois, ça fait neuf ans que je cherche à comprendre ce que tu avais dans la tête, quand tu as accepté d'écrire ce faux témoignage du 10 février 2000, sous la dictée de la tête du gang. Je te repose la question : excepté les bénéfices en partage du butin raflé, qu'avais tu en tête quand tu as pris ce faux témoignage sous dictée ?

Je pose aussi la question : mon fils Bertrand est-il au courant des antécédents du gang ? Est-il au courant des campagnes de calomnies successives entreprises par le gang, la présente campagne inclusivement ?

Je ne crois pas, mais alors pas du tout que l'anonyme à l'adresse dissimulée, soit un(e) ami(e) à mon fils. Encore et toujours, il s'agit à nouveau d'un(e) pervers(e) histrionique, et qui vise du butin à rafler.  Les symptômes en sont évidents à lire.

Bon anniversaire, Bertrand ! Que cela te soit l'occasion d'une rupture totale d'avec le gang qui te dévore le cerveau, mais chez qui, officiellement, tu serais revenu habiter. Fais-toi aider ! Il est impossible de se réhabiliter en demeurant à l'intérieur du gang. Là encore, il y a des travaux publiés sur ce sujet.

Jacques

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Re : Re: Ce toubab qui se vantait de tuer à distance...
* Réponse #1 le: 15 octobre 2013, 11:27:57 *
* Modifié: 17 novembre 2015, 09:12:47 par Jacques *
Le fil entier, commencé le 13 octobre 2010, est toujours consultable à
http://fr.bio.medecine.narkive.com/iodhHr4V/ce-toubab-qui-se-vantait-de-tuer-a-distance.3 (pour la page 3, )
http://fr.sci.zetetique.narkive.com/OWgCiqLV/ce-toubab-qui-se-vantait-de-tuer-a-distance.3
et à ]https://groups.google.com/forum/#!topic/fr.sci.zetetique/plUHlPMt4ZU[1-25-false]
mais avec tellement d'erreurs dans la gestion des caractères accentués que la lecture en est fort pénible.

C'est tout à fait édifiant, sur la collusion entre gangsters pour l'éradication des témoins gênants.



NB : l'un de ces gangster, Jean-Claude Pinoteau, qui vendait des remèdes miracles contre le cancer, est décédé en août 2013, d'un cancer. Lui qui me menaçait de mort si longtemps, et menaçait ma compagne aussi...