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Jacques

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Masculinisme ? Non merci !
* le: 09 octobre 2007, 03:02:34 *
* Modifié: 01 juillet 2011, 04:58:55 par Jacques *
Sémantiquement, l'antonyme de F4J est bien "Mère pour l'injustice" ?
Me gourre-je ?
Car je me fais souvent accuser d'être un F4J...

Bin non, je ne suis pas et ne serai jamais "masculiniste", car ce serait être aussi sexiste que le sont les féministes. J'aurais immédiatement l'impression d'être aussi ignoble qu'elles le sont.

Qu'est-ce que le féminisme, de nos jours et dans nos pays ?

Petit-fils, fils et frère de féministes, ou plus précisément petit-fils de féministe, fils de misandre victimaire (mais avec femme de ménage), frère de matriarque absolue, et père de [censuré, c'est indicible], soumis à plus de soixante ans de propagande misandre victimaire, je suis en mesure de répondre ce qui suit :

C'est une collection d'astuces pour haïr et mépriser son prochain, toutes ensembles. Suivant la règle générale qui constate que la perversité et la corruption sont des cliquets à sens unique - tout gangster évolué, capable de corrompre magistrats, policiers et hommes politiques te le confirmera, tout agent secret en charge de la manipulation de traitres à leur pays te le confirmera aussi : un corrompu est prisonnier de sa corruption -, le féminisme dans nos pays gavés est descendu toujours plus profondément dans l'abjection, dans la perversité, le sadisme et la fourberie dans l'intimité des familles. J'ai vu de mes yeux vu, tout au long de mes soixante-trois ans d'existence à ce jour, la transmission de l'idéologie misandre s'inscrire dans la transmission des noyaux de délire psychotiques de mère en fille. De belle-mère en bru à l'occasion, quand le fils se révélait finalement rebelle au délire misandre inculqué par la mère, par exemple refusait de se laisser suicider dans les délais prescrits, quel que fut le poids des doubles contraintes infligées. On est folles en premier lieu parce qu'on a reçu injonction de l'être, et qu'on n'a pas été capables de résister à cette injonction, qu'on a trouvé autrefois que les avantages d'entrer dans le délire maternel l'emportaient sur les inconvénients. Et après, il est trop tard, on n'a pas les forces ni le courage nécessaires à résipiscence.

Comme tous les autres racismes, comme toutes les autres guerres de religions, son but premier est de justifier des crimes et délits de droit commun, de justifier des vols, des meurtres, des spoliations et des privilèges, en disqualifiant un ou plusieurs boucs émissaires. Comme tous les autres racismes, comme toutes les autres guerres de religions, son but secondaire est de donner une apparence de rationalité à un bagage de haine héritée et déréférencée, en quête de cibles sans danger sur lesquelles se focaliser. Autrement dit, comme tous les autres racismes, le féminisme moderne est une organisation collective de la paranoïa, et du mode pervers de déjouement collectif de la psychose partagée : une astuce pour projeter sur autrui toutes ses propres turpitudes qu'on n'est pas capables de s'avouer. Oui bien sûr, il y a longtemps, le féminisme luttait contre des inégalités. C'était il y a longtemps. Ces inégalités supprimées et renversées, le féminisme moderne milite pour renforcer ces nouvelles inégalités. Il est devenu une entreprise criminelle quand il a pénétré en force le système judiciaire, garantissant l'impunité à toutes les formes de brigandage conjugal et familial qui soit féminin.

La seule différence par rapport à d'autres racismes comme ceux moins populaires (en France) d'islamisme ou de lepenisme, est qu'il a sélectionné celle des discriminations qui échappe encore à toute sanction légale : le sexisme. Ici, l'objet désigné pour recevoir tous les ressentiments, est l'autre sexe, tout représentant de l'autre sexe qui ne soit totalement soumis et asservi. Le sexisme anti-mâles est le seul racisme qui reçoive des subventions des municipalités, des collectivités locales, des ministères.

Comme tous les autres racismes et guerres de religions, le féminisme moderne sert à nier l'individu, à disqualifier en masse tout ce qui est autre, tout ce qui est non-féminin. Tout mécréant qui résiste est automatiquement prétendu monstre symétrique, ou dans leur jargon : « masculiniste ».

Le féminisme appartient au groupe des sectes exonuisibles, centrées sur la haine de l'extérieur, la joie de nuire à l'extérieur. Ainsi étaient aussi en Inde les Thugs, secte d'étrangleurs. Ils se proclamaient investis de la mission divine d'étrangler les voyageurs dont ils avaient capté la confiance et de le détroussser. Ils se justifiaient devant les tribunaux anglais au son de "Mais le souffle de Kâli était déjà sur lui !". Tandis que de nombreuses sectes renfermées sont endonuisibles, centrées sur l'exploitation à blanc de leurs propres fidèles : Témoins de Jéhovah, Moonistes, Mandarom, Scientologie, Krishna, etc.

Certes, si je n'étais que petit-fils de féministe, fils de misandre victimaire (mais avec femme de ménage), frère de matriarque absolue, et père de [censuré, c'est indicible], mon échantillon serait statistiquement sans valeur, quoique j'en aie une connaissance intime dont je me serais fort bien passé. Eberlué par ces cris de haine écrits par ces fanatiques, je suis allé les observer sur leurs sites propres. Cette fois, il y a de quoi être submergé par l'ampleur du corpus d'études. Par exemple Michèle Dayras a écrit sur son site « sos sexisme » le 23/10/2003 à 06:53:30 : « la définition du "sexisme" est la discrimination à l'encontre des femmes ! », et le 22/08/2001 à 02:02:56 : « Pour moi, tout homme est un " salaud " en puissance, comme on pourrait dire que tout homme est un violeur ou un intégirste en puissance. Je pense, aorès tant d'années passées à militer, qu'il ne s'agit que d'une question de degré dans l'abjection, ce qui fait que certains hommes peuvent passer pour sympa : ceux qui n'ont pas été confrontés à la réalité et que leur petite femme chérie...conforte dans leur machisme; ceux-là ne sont pas trop véhéments car ils n'ont pas l'impresion qu'ils vont perdre le pouvoir avec tous les privilèges qui s'y rapportent. »

Fin de citation. Fautes de frappe maintenues.

Il était bien tard, le 12 octobre 2006 seulement, quand la Reine-Mère s'est vantée par écrit d'avoir protégé la criminalité organisée, pourvu qu'elle soit féminine :



Plus de détails à http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/Fam_Lavau/proteger_criminalite_feminine.html
Autres détails sur l'organisation de sa mythomanie et de son despotisme, cherchant inlassablement à nous imposer ses délires :
http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/Fam_Lavau/Delire_borderline_Reine-Mere.html

Et à la génération suivante, qu'est-ce que ça donne ? Aussi surnommée Ma Dalton par un ami d'enfance, Madame Soeur s'est beaucoup vantée d'avoir fui notre mère durant des années, pour se protéger de sa toxicité. Toutefois, elle ne dédaigne aucune des recettes de toxicité, si cela peut servir à abattre son frère :
Extraits :

"Et puis d'abord, tu n'as pas le droit d'ouvrir la bouche sur aucun sujet, car tu n'as même pas été psychanalysé !".

" Kestatan pour avouer que l'inconscient est omniscient ? Kestatan pour avouer que tout escroqué était en profonde complicité avec l'escroc, que tout volé était en profonde complicité avec le voleur (ou la voleuse), et est donc le véritable coupable du vol qu'il a subi ?
Kestatan pour avouer que tu as choisi
("Gazonbleu" est son pseudonyme usuel, féminin de Barbe Bleue) exprès pour te faire maltraiter par elle ?"

"Et puis d'abord, ton témoignage est irrecevable, car tu y étais. Donc tu n'es pas objectif !"

"Et puis d'abord, tu n'as pas le droit de décrire la paranoïa de ta femme, car tu n'as pas fait d'études de psychiatrie !" (Je les ai faites depuis, les études de psychopathologie).

"Et puis d'abord, oser expérimenter comme tu l'as fait, pour déterminer lequel de vous deux est fou, c'est une abominable traîtrise, comme seul peut l'imaginer un paranoïaque ! Un homme normal, quand nous le traitons de fou à répétition, se laisse docilement convaincre sans chercher à comprendre, lui !"

Expérimentation décrite en annexe n° 2 à http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/paranoia.html

"Et puis d'abord, Kestatan pour avouer que vous les profs, vous êtes tous des addicts de la relation inégale, que vous êtes tous incapables de vous remettre en cause, tous abusifs, et que j'ai bien raison de me venger de vous tous, sur toi !"

Pour ne citer qu'elle...

Quelques autres sont citées à
http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/mission_parricide/faux_temoins.html et à
http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/mission_parricide/trompettes_de_la_calomnie.html

Il n'y a pas de mots pour décrire la nausée qui m'étouffe quand j'évoque ces matriarques de ma famille d'origine, ces murs de mauvaise foi compacte : http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/mission_parricide/sadisme_atrides.xhtml


Alors se définir comme monstre symétrique : "masculiniste" ? Non merci !




Jacques

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Chevaleresques toujours, mais désormais avertis...
* Réponse #1 le: 09 octobre 2007, 03:03:22 *
* Modifié: 05 octobre 2009, 02:57:28 par Jacques *
Comme je l'ai déjà expliqué plus haut, depuis quatre ans déjà, mon choix est fait, en aucun cas je ne serai sexiste symétrisé de leur monstruosité à elles.

Nous sommes victimes de leur sexisme, raison de plus pour ne se permettre aucun sexisme symétrique. C'est justement le piègeakon qu'elles nous tendent, et au Canada, ce piègeakon a hélas remarquablement bien fonctionné.

Ma contre-proposition ?
Chevaleresques, mais avertis...
Ou si tu veux faire plus long :
Chevaleresques toujours, mais désormais avertis...
Ou encore plus long :
Chevaleresques toujours, mais désormais avertis  de vos turpitudes...

Tu ne pourras pas changer cela : nos hormones exigent de nous mâles, que nous nous sacrifions, en caballeros. La masse populaire reste sur ce registre, tant qu'ils n'ont pas encore été pillés par ces féminazies.

Ma démarche est différente de celle de l'éditorialiste que nous commentons ici : je préconise une articulation très réfléchie entre débat savant et débat populaire. Je préconise qu'on prenne toutes mesures pour qu'aucun des deux ne puisse dévorer l'autre.

Pendant quelques dizaines d'années, depuis le Manifeste de Marx et Engels, jusqu'à Lénine inclusivement, puis ensuite avec les exceptions d'Antonio Gramsci, de Chou en Laï et Mao Zheu Dong dans leurs débuts, en gros jusqu'à 1945, la grande force du mouvement ouvrier a été cette coexistence du débat savant et du débat populaire. Il nous reste à examiner les raisons de l'échec final, et à en tirer les leçons.

Un livre-témoignage d'un ouvrier tourneur, Sandor Kopacsi, devenu préfet de police de Budapest, aide à comprendre comment lui et les autres ont été piégés par l'escroquerie au mouvement ouvrier :
http://jacques.lavau.perso.sfr.fr/disputatio/viewtopic.php?id=314
"Au nom de la classe ouvrière".

A nous d'en tirer les enseignements, si inconfortables et exigeants soient-ils.