Fraude féministe sur les "foyers à femmes battues", confirmée au Québec par le vérificateur général.Le vérificateur général a confirmé l'évidence : Les maisons d'hébergement pour femmes battues sont généralement vides :
(à 2 min 30)
http://www.youtube.com/watch?v=-xof0iDk1ycEt puis voyez comment on traite les femmes dans les centre d'hébergement :
http://www.vimeo.com/790290Il serait peut-être temps que les femmes aussi considèrent le féminisme radical comme un ennemi public. Sinon des femmes vont continuer de payer très cher les tabous engendré par ce féminisme. La guerre menée contre les hommes atteint aussi des femmes : leurs secondes compagnes en premier lieu, leurs filles aussi paient le gros prix à la guerre sexiste.
Lecture :
http://www.vgq.gouv.qc.ca/fr/publications/rapport-annuel/2008-2009-T1/Rapport2008-2009-T1-Chap03.pdfExtraits :
3.11 Le nombre dorganismes soutenus financièrement par ce programme a augmenté de façon spectaculaire : en 1973, on dénombrait une trentaine dorganismes et, en 2007‑2008, il y en avait près de 3 400. Au cours de cette même période, les sommes versées sont passées de moins de un million de dollars à près de 400 millions. Notons quen 2001‑2002, il y a eu 3 010 organismes subventionnés qui se sont partagé 256 millions de dollars.
Or seuls 9 organismes sur 3400 ont été vérifiés pour ce rapport...
3.13 Par ailleurs, les organismes communautaires ont accès à dautres sources de financement : subventions du gouvernement fédéral ou des municipalités, aide des fondations publiques ou privées (dont Centraide), financement interne (soupers-bénéfice, lave-autos, vente de divers articles, etc.).
2. Les autres organisations gouvernementales qui versent des subventions aux organismes communautaires sont principalement le ministère de lEmploi et de la Solidarité sociale (185 millions de dollars) et le ministère de lÉducation, du Loisir et du Sport (34 millions de dollars).
3.33 Lobjectif de notre rapport nest pas de remettre en cause la pertinence, le bien-fondé et le montant global des subventions accordées aux organismes communautaires dans le cadre du PSOC.
.38 Nous avons constaté que les sommes distribuées à chaque organisme sont accordées sur une base continue et quelles sont reconduites dannée en année pour la quasi-totalité des organismes. Certes, on y ajoute une certaine indexation, mais il ny a pas de réévaluation périodique des besoins, tous les trois ans par exemple. Dailleurs, dans la grande majorité des cas, les organismes reçoivent des subventions depuis de nombreuses années et les dossiers examinés ne comportent pas de justification concernant les sommes allouées.
3.42 Labsence de réévaluation périodique des sommes accordées à chaque organisme ne favorise pas léquité entre les organismes communautaires offrant un même programme ou faisant partie dune même catégorie : certains profitent dune subvention leur assurant une richesse relative, alors que dautres doivent composer avec leur pauvreté historique. De plus, étant donné quil ny a pas de réévaluation, on ne peut sassurer que les organismes subventionnés tiennent compte des autres paramètres énoncés dans la politique et que toutes les sommes quils demandent sont effectivement requises.
3.45 Pour 28 des 30 demandes de subvention examinées, les sommes demandées par les organismes étaient en hausse par rapport à celles obtenues lannée précédente (pour 8 demandes, laugmentation dépassait 100 p. cent). Notons que cette hausse nétait pas accompagnée dune justification adéquate de la part des organismes. Dailleurs, lors de notre visite, un organisme nous a dit avoir inscrit dans sa demande le montant qui a été attribué à un autre organisme semblable à lui, mais qui était mieux financé. Pour leur part, 5 autres organismes ont mentionné que le montant demandé était celui proposé par leur regroupement, qui suggère notamment des standards établis en fonction du nombre de lits ou du nombre dannées dexistence de lorganisme. Cependant, ils nont pas adapté ce montant à leur réalité propre (ampleur des obligations et des dépenses, etc.).
3.48 En outre, nous avons identifié plusieurs organismes qui ont un excédent accumulé significatif, sans que limportance de celui-ci soit prise en compte lors de létablissement du soutien financier pour lannée subséquente. Pourtant, un comité4 auquel siègent des représentants du milieu communautaire et du MSSS a convenu que les organismes peuvent accumuler des sommes équivalant au maximum à 25 p. cent des dépenses annuelles figurant dans les états financiers. Ce pourcentage devrait être pris en considération lors de lanalyse des demandes de financement des organismes.
etc.
http://www.vgq.gouv.qc.ca/fr/publications/rapport-annuel/2008-2009-T1/index.aspx