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Jacques

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Urgence psychiatrique : Etat-limite, enceinte, en plein chantage...
* le: 30 octobre 2007, 04:04:14 *
* Modifié: 11 mars 2008, 07:20:37 par Jacques *
Citation de: Stevo
J'ai baisé avec mon ex qui est mon ex depuis presque 1 an, et elle était supposée prendre la pilule. Maintenant enceinte de 5 mois. Je suis supposé être le père et je n'ai aucun choix. Au début, elle m'a dit viens, on va réessayer ensemble de fonder une famille. Moi après des jour et des jours à essayer de la convaincre de se faire avorter, car en 2 ans de couple, il n y a pas eu une semaine qu'on ne s'est pas chicanés. Injures, irrespect etc... Je pensais que je n'avais pas d'autre choix que de réessayer mais ce fut l'enfer. Si je voulais aller voir mes amis, chose que je faisais très rarement à cause d'elle, elle me menaçait avec le bébé qui n'est même pas né : "Tu ne le verras jamais et tu vas payer pension". Elle m'a jeté dehors plusieurs fois pour des niaiseries banales (je ne pense pas comme elle). Et elle allais coucher ailleurs, je ne sais où mais ce n'est  pas chez eux (qui sont ces "eux" ? Ses parents ? Note du Traducteur). Après 2 ou 3 jours, elle me rappelait en s'excusant, pleurant, et me disait qu'elle ne mange plus et ne dort plus. Elle est de belle apparence donc je succombais. Jusqu'au moment d'une chicane elle me dit qu'elle avait baisé avec un autre par dessus le bébé et que j'avais mangé le sperme de l'autre en la mangeant car elle ne voulait pas baiser ce soir là. J'étais dans mon auto par cellulaire quand elle ma dit ça. Je suis devenu fou, je l'ai traitée de tout les noms possibles et j'ai mis fin depuis deux semaines à tout contact avec elle. Je sais qu'aujourd'hui le 5 oct 07, elle connaissait le sexe du bébé. J'ai essayé de savoir par son père et son amie, mais en vain, je n'ai eu aucune nouvelle. Ses dernier mots étaient : "J ai vu un beau 4 et demi à louer. Tu vas venir avec moi et le bébé et toutes tes affaires, mais tu n'auras pas ton nom sur le bail, et ni d'adresse là, car sinon j'aurais pas droit au 600$ d'allocation du gouvernement". J ai dit non, car avec mon salaire ça va, et le risque que tu me foutes encore dehors, et de perdre encore des biens est trop grand. Elle m'a répondu : "Fuck off ! D'abord tu ne verras jamais cet enfant, et tu vas payer pension mon estie tu vas voir."

Y a t-il quelqu'un qui peut me dire ce que je peut faire pour m'en sortir SVP. Je refuse la paternité de cet enfant, mais si je n'ai pas le choix alors je serai un bon père. Je ne veux surtout pas payer pension, et n'avoir droit qu'à des visites. On dirait que je suis dans une impasse et je sens que je vais sombrer car j ai perdu ma liberté de choisir.


besoin d'aide au PC

stevo

Citation de: Stevo
J AI ENREGISTRE UNE CONVERSATION PROUVANT QUE JE N AI JAMAI VOULU CETTE ENFANT ET QU ELLE NE MA PAS LAiSSE LE CHOIX. PUIS JE DESAVOUER CET ENFANT ?

LA VEILLE ELLE ME DEMANDAIS 60$ ET J AI DIT NON ELLE MA ECRIT DES COURIELLE DE MENACE DE PAYER PAREIL ET QU ON ALLAIS CE REVOIR EN COUR ET LE LANDEMAIN ELLE M A RAPPELER POUR QUE J AILLE COUCHEZ CHEZ EUX COLLER, QUAND ELLE A PAS CE QUELLE VEUT ELLE PETTE LES PLOMB ET ME DECLARE UNE GUERRE JUREDIQUE ET LE LANDEMAIN ELLE VEUX BAISER ET FAIRE CA VIE AVEC MOI, JE SUIS TANNE QUE DOIS-JE FAIRE EXACTEMENT SVP VOUS AVEZ L AIR DE BIEN CONNAITRE CA POURIEZ VOUS M AIDER UN PEU.

STEVO

Stévo, j'ai fait mon possible pour rétablir l'orthographe et la ponctuation.
Tu nous as décrit là une urgence psychiatrique, et il est grand temps de la mettre dans le cabinet du psychiatre. C'est même le premier de tes devoirs, et des devoirs de la société, notamment des magistrats, d'organiser le suivi psychiatrique, et il sera lourd.
Tu nous as décrit avec précision une malade "borderline" en anglais, "Etat-limite" en français. Elle n'est pas tout à fait psychotique, car visiblement elle sait naviguer parmi les subventions de l'Etat. En revanche son affectivité et sa sexualité sont totalement chaotiques. Elle est infernale avec ses proches, et sera infernale et nocive au possible envers son fils ou sa fille.

La magistrate adore se draper dans l'étendard de l'intérêt de l'enfant pour massacrer le père et combler la mère. C'est l'occasion de la prendre au mot, et lui faire penser au calvaire futur de l'enfant. Les médecins et psychologues de ce qui chez vous est l'équivalent de la PMI française (Protection Médicale Infantile), puis le pédopsychiatre, les enseignants, vont tous être confrontés au drame de l'enfant de borderline...

Psychiatre !
Psychiatre !
Psychiatre !