Enquêtes frauduleuses en faveur de l'homoparentalité...
Hélas la dénonciation ne vient pas d'un journaliste, mais d'un lecteur :
"Les enquêtes citées, en général américaines, sur lesquelles se fondent les revendications dhomoparentalité révèlent en fait bien des surprises : léchantillonnage est extrêmement restreint, quelques dizaines de personnes, le plus souvent membres dassociations gays militantes ; dans la plupart des cas, seuls les parents sont interrogés et parlent au nom de leurs enfants ; quand des comparaisons sont faites, cest le plus souvent avec des familles monoparentales, soit dorigine, soit issues dun divorce ; les questionnaires sont standardisés, exclusivement comportementalistes et fonctionnalistes, sans mise en perspective de lévolution de lenfant jusquà lâge adulte ; les notions clés de «père», «mère», «parent», «conception» et «engendrement» y sont délibérément laissées dans le flou. Tout se passe comme si les enfants vivant au sein de couples homosexuels étaient chargés de valider les comportements des adultes en "allant bien", alors que l'on y découvre que plus de 40% d'entre eux bénéficient d'un suivi psychologique".
Ladoption na pas pour seul objet léducation de lenfant et lexercice de lautorité parentale. Elle inscrit sa filiation dans un cadre familial, à la fois symbolique et analogique, et dans une chaîne des générations dont il devient partie prenante.
En outre, comme le rappellent des psychologues reconnus Aldo Naouri, Claude Halmos et Michel Schneider, pour ne citer queux , cest essentiellement dans le rapport à la génération et à la différence sexuelle et non dans un concept confus « décart entre adultes » que sorigine lidentité de lenfant.
Nécoutant que les revendications dune minorité dadultes, on néglige gravement lintérêt supérieur de lenfant. Sur ce fondement, de nombreux élus (plus de 300 parlementaires en France) et personnalités se sont prononcés contre ladoption homoparentale. Les juridictions et les traités internationaux aussi. La Cour européenne des droits de lhomme la rappelé fortement dans un arrêt rendu le 26 février 2002 (affaire Fretté contre France) : « La décision prise (le refus dagrément) trouve sa justification dans lintérêt supérieur de lenfant (
). Les droits de lenfant limitent les droits à lenfant. »
« Rechercher une famille pour un enfant », cest bien la mission des associations uvrant pour ladoption. Et ce avec dautant plus de circonspection que les débuts de la vie de ces enfants ont connu des difficultés majeures, génératrices de questionnements didentité déjà suffisamment complexes à gérer pour eux. Et en aucun cas satisfaire un « droit à lenfant ».
François Chevalier, Paris
http://209.85.135.104/search?q=cache:IgLcxjnWmKwJ:www.la-croix.bayardweb.com/courrier/+%22revendications+d%E2%80%99homoparentalit%C3%A9%22+la+Croix&hl=fr&ct=clnk&cd=1&gl=frM'enfin quoi ? Sont vicieux ces hétéros ! V'la qu'ils dénoncent des fraudes pourtant vachement bien combinées et au dessus de tous soupçons !
M'enfin ? Que fait la Société Protectrice des Imposteurs ?
Qui nous débarrassera de ces journalistes libres et incorruptibles ? Pis des lecteurs incrédules, les pires de tous ?