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Jacques

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La coalition perverse d'une psychothérapeute...
* le: 17 février 2009, 01:51:42 *
* Modifié: 17 février 2009, 01:53:03 par Jacques *
Nous faisons suite là au fil http://debats.caton-censeur.org/index.php?option=com_content&task=view&id=91&Itemid=59 (actuellement censuré sur ordre de qui-détient-le-flingue) qui décrit l'organisation planifiée du suicide d'un père de trop, Bernard P.
A mesure que se déroule la procédure pénale, manigancée pour protéger les coupables de ce meurtre par des assassins sans couteau, des pièces se révèlent.
Se révèle notamment la coalition perverse d'une psychothérapeute autoproclamée, en NOUS-LES-FEMMES-CONTRE-EUX-LES-PERES avec la divorçante, en complet mépris des besoins des enfants de ce couple.

Extrait du témoignage du suicidé :
Citer
J'ai été convoqué à la gendarmerie qui a compris la situation et cette plainte a aussitôt été classée sans suite par le Procureur, auquel je m'étais d’ailleurs adressé pour me plaindre des effets néfastes de la kinésiologie sur mon ex-épouse. Dans ce courrier, j'avais notamment demandé qu'il soit ordonné une enquête sociale et que mon ex-épouse ne puisse plus prendre mes filles chez son amie kinésiologue. En effet, elles commençaient à devenir végétariennes et à être de plus en plus négligées. Elles revenaient même de chez leur mère couvertes de poux et surtout elles étaient devenues irascibles rendant tout dialogue impossible entre nous.
Pour y remédier, j'avais décidé de nous soumettre tous ensemble à une thérapie familiale avec une psychologue, Mme Rocton, qui connaissait bien la famille depuis des années. En 2004 cette psychologue avait suivi ma fille [fille seconde] qui est précoce et qui a pu sauter plusieurs classes puisqu'elle est actuellement en classe de 3ème à 13 ans. Comme elle avait été choisie par mon ex-épouse, je pensais qu'elle allait peut-être pouvoir jouer un rôle de médiation.
Le samedi 8 décembre 2007, j'ai voulu accompagner [fille seconde] et [fille aînée] chez cette psychologue comme d'habitude mais [fille seconde] ne voulait plus la voir car elle commençait à en avait peur. Pendant que j'étais dans la salle d’attente, Mme Rocton avait alors téléphoné directement chez nous pour obliger [fille seconde] à la revoir en la menaçant d’avoir rompu le "pacte" qu’elle avait signé avec elle et qui stipulait de savoir souffrir pour aller mieux.
C'est avec stupeur que j'ai découvert cette menace par le biais de mon amie qui avait pu assister à cette conversation téléphonique. J'ai alors aussitôt réagi en appelant Mme Rocton pour lui demander des explications. Cela ne l'avait pas du tout gêné et elle m'annonça même que mes filles allaient être convoquées à la fin décembre pour une enquête sociale afin d’essayer de m'intimider. C'était pourtant moi qui avait demandé cette enquête sociale pour protéger mes enfants et j'étais très surpris de l’apprendre par son intermédiaire.
[Fille seconde] qui était de plus en plus perturbée par ce fameux "pacte" secret signé avec elle, devenait de plus en plus insupportable chez nous allant jusqu'à accuser mon amie d’avoir été prostituée et d’essayer de la manipuler contre sa mère. Elle m'accusait moi-même d'être un maniaco-dépressif inguérissable, ce qui était devenu insupportable pour mon amie et moi.
Le jeudi 13 décembre 2007, je me suis décidé de rappeler Mme Rocton pour lui demander si elle ne faisait pas partie de la kinésiologie. Curieusement, cela a eu pour conséquence de ne plus retrouver mes enfants à la sortie de l'école et je découvrais que mon ex-épouse était passée les prendre en plein après-midi pour les déposer à la gendarmerie avec la volonté de me les soustraire... Tous sont revenus chez moi sauf [fille seconde] qui n’a pas voulu me suivre.  Le lendemain, je les ai néanmoins récupérés à la sortie de l’école, car les gendarmes avaient imposé à mon ex-épouse de se conformer l'ordonnance du juge aux affaires familiales.
Depuis j'ai appris que mon ex-épouse avait pu retirer mes enfants, de leurs établissements scolaires en faisant croire qu'ils étaient en danger et qu'il avait été justement ordonné par la Procureur une enquête sociale confiée à la PMI (Protection Maternelle et Infantile), alors que cette enquête que j'avais demandé devait au contraire la mettre en cause.

Vérification dans les Pages jaunes : il existe bien une Françoise Rocton, psychologue, à Besançon.

Au vu de cette pièce, j'accuse.

J'accuse la psychothérapeute Mme Rocton (Françoise ?), d'avoir bafoué notre code de déontologie des psychologues, d'avoir bafoué la totalité de ses obligations déontologiques, d'avoir établi une coalition NOUS-LES-FEMMES-CONTRE-EUX-LES-PERES avec Madame [divorçante], en complet mépris des besoins des enfants de ce couple.
Je mets la psychothérapeute Mme Rocton au défi d'exhiber un seul rendez-vous de supervision avec un psychologue sénior, jouant son rôle de superviseur de psychothérapeute, pendant la période où elle a pratiqué cette coalition avec Mme [divorçante] contre Monsieur P.

Il y a d'autres personnes à accuser dans ce meurtre en meute de complices, notamment le médecin qui a délivré un certificat médical de complaisance, mais ce sera l'objet d'autres messages ou articles.

Cette coalition faite par des psychologues en pacotille contre un membre d'une famille, le plus souvent en NOUS-LES-FEMMES-CONTRE-EUX-LES-PERES a déjà été plusieurs fois signalée et dénoncée par le groupe de psychothérapeutes familiaux milanais, connus sous le sobriquet de "Ecole de Milan" (Mara Selvini-Palazzoli, Giuliana Prata, Luigi Boscolo, Gianfranco Cecchin, Stefano Cirillo, Anna-Maria Sorrentino, Lynn Hoffman, Peggy Penn...). Elle est extrêmement dangereuse et dommageable ; c'est une faute déontologique et une faute professionnelle inexcusable. C'est hélas une faute professionnelle classique, devenue traditionnelle chez certains, et surtout certaines (dans le cadre de leur guerre sexiste).